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Culte du 8 octobre 2023 à Sète
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Culte du 8 octobre 2023 à Sète
Musique
Annonce de la grâce et de la paix
Ecoutez ! écoutez la très ancienne parole d’espérance : la joie et la vie, la force et le courage, vous sont donnés par l’Eternel, Présence du Père, Amour du Fils, par la force du Souffle saint.
Je vous invite à la prière
Sans toi, mon Dieu, je serai un voilier qui, toutes voiles rentrées, sans vent ni élan, vogue, balloté sur les eaux de la vie… ou encore, je serais une boussole qui, infidèle à elle-même, tourne en rond sans trouver le nord ; ou encore, je serais un Jonas fuyant, te fuyant, jusque dans la mort.
Mais tu es là, au cœur de ma vie.
Nous avons traversé ensemble des temps de bonheur, de joie, d’amitié, d’amour.
Nous avons tâtonné sur des routes obscurcies par les brouillards de la vie.
Nous avons pleuré sur des rivages où tout paraissait sans retour. Nous avons gravi des montagnes de soucis, d’incertitude, de chagrin.
J’ai parfois cru que je t’avais perdu. J’ai pensé que tu ne comprenais pas, que tu aurais pu faire quelque chose.
Et pourtant, tu étais là, au milieu de mes déserts ; discret, aimant, patient, me redonnant sans cesse des forces pour continuer ma route. Oui, tu es là, au cœur de ma vie. Amen.
Spontané « Dieu présent »
Louange et reconnaissance
Louange à toi, Dieu éternel.
De la glaise originelle, tu nous dégages, Dieu de vie.
Des chaînes de la peur, tu nous délivres, Dieu de liberté.
Hors du tumulte de nos désirs, tu nous berces, Dieu de paix.
Au naufrage de nos illusions, tu es notre rocher, Dieu de salut.
Au labyrinthe de nos incompréhensions, tu nous guides, Dieu de communion.
Dans le désert de l’indifférence, tu nous parles, Dieu d’amour.
Louange à toi, Dieu éternel. Amen.
Ct 45-10 st 1, 3 et 4 j’ai soif de ta présence
Notre vie devant Dieu
Notre Père, nous sommes tes enfants, notre mission est d’être une lumière pour le monde.
Ouvre nos yeux quand nous ne voyons plus que son obscurité et sa confusion.
Et pardonne-nous quand nous refusons de voir le Réel en face.
Tu attends que nous parlions d’espérance à nos sœurs et à nos frères et que nous osions dénoncer les injustices.
Alors renouvelle nos cœurs quand la crainte et le découragement nous plongent dans un sommeil fuyard ou une indifférence ouatée. Appelle-nous encore et encore. Amen.
Spontané « Quand le soir descend » 49-17
Parole de résurrection de la part de Dieu
C’est confiants que nous avons prié. Confiants et désireux d’être rassasiés. Jésus en fait la promesse ferme : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que boive celui qui croit en moi. Comme l’a dit l’Ecriture : « De son sein couleront des fleuves d’eau vive ».
Quand nous cherchons la sécurité dans le recroquevillement, Jésus-Christ nous ouvre à la vérité et à l’audace.
Quelles que soient nos limites, Dieu accomplit son œuvre en nous.
Soyons reconnaissants à Dieu, de son appétit pour nous, et de son amour, loin de toute paresse et de toute indifférence. Amen.
Spontané Al 64-13
Prière et lectures bibliques
Seigneur Jésus, nous sommes réunis pour te rencontrer dans ta Parole. Prépare-nous à écouter ta vérité, non pas comme nous voudrions qu’elle soit, mais comme elle est. Ne permets pas que ta Parole devienne notre jugement, parce que nous l’entendons sans l’accomplir, parce que nous la connaissons sans l’aimer, parce que nous y croyons sans pourtant lui obéir. Donne-nous plutôt un coeur prompt et un courage joyeux à te suivre. Amen.
Lectures bibliques
Nous lisons dans le livre de la Genèse, au chapitre 22, les versets 1 à 19 :
Après ces événements, Dieu testa Abraham et lui dit : Abraham ! Il répondit : Me voici ! Dieu dit : Prends ton fils, je te prie, ton fils unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Moriya et là, offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je t’indiquerai. Abraham se leva de bon matin, sella son âne et prit avec lui deux serviteurs et Isaac, son fils. Il fendit du bois pour l’holocauste et se mit en route pour le lieu que Dieu lui avait indiqué. Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit le lieu de loin. Abraham dit à ses serviteurs : Vous, restez ici avec l’âne ; moi et le garçon, nous irons là-haut pour nous prosterner, puis nous reviendrons vers vous. Abraham prit le bois pour l’holocauste et le chargea sur Isaac, son fils, et il prit lui-même le feu et le couteau. Puis ils continuèrent à marcher ensemble, tous les deux.
Alors Isaac dit à Abraham, son père : Père ! Il répondit : Oui, mon fils ? Isaac reprit : Le feu et le bois sont là, mais où est l’animal pour l’holocauste ?
Abraham répondit : Que Dieu voie lui-même quel animal il aura pour holocauste, mon fils ! Et ils continuèrent à marcher ensemble, tous les deux.
Lorsqu’ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait indiqué, Abraham y bâtit l’autel et disposa le bois. Il ligota Isaac, son fils, et le mit sur l’autel, par-dessus le bois. Puis Abraham tendit la main et prit le couteau pour immoler son fils. Alors le messager du SEIGNEUR l’appela depuis le ciel, en disant : Abraham ! Abraham ! Il répondit : Me voici !
Il dit : Ne porte pas la main sur le garçon et ne lui fais rien : je sais maintenant que tu crains Dieu et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton fils unique.
Abraham leva les yeux et vit par-derrière un bélier retenu par les cornes dans un buisson ; alors Abraham alla prendre le bélier et l’offrit en holocauste à la place de son fils. Abraham appela ce lieu du nom d’Adonaï-Yiré (ce qui signifie « l’Eternel voit ») . C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : A la montagne de l’Eternel, il sera vu.
Nous lisons dans le livre d’Esaïe, au chapitre 53, les versets 3 à 7 :
Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui de qui on se détourne, il était méprisé, nous ne l’avons pas estimé. En fait, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’était chargé ; et nous, nous le pensions atteint d’un fléau, frappé par Dieu et affligé. Or il était transpercé à cause de nos transgressions, écrasé à cause de nos fautes ; la correction qui nous vaut la paix est tombée sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.
Maltraité, affligé, il n’a pas ouvert la bouche ; semblable au mouton qu’on mène à l’abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n’a pas ouvert la bouche.
Nous lisons dans l’évangile selon Matthieu, au chapitre 10, les versets 34 à 36 :
Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère, et l’homme aura pour ennemi les gens de sa maison.
Ct 47-21, st 1 et 2
Prédication
Nous venons d’entendre un texte qui semble nous parler de sacrifice. Ce n’est pas tout à fait faux, mais ce n’est pas tout à fait vrai car il manque de nombreux éléments pour qu’il s’agisse effectivement d’un sacrifice. Ce texte immense dit énormément de choses ; il a suscité de nombreuses interprétations, de multiples lectures, dont beaucoup sont passionnantes. J’aurai donc l’occasion de prêcher à nouveau dessus…
Pourquoi prêcher sur ce texte aujourd’hui ? comme les jours sont plus courts, j’ai regardé deux ou trois fois la télévision ces jours-ci, et j’ai remarqué plusieurs choses : des « spots publicitaires » pour alerter sur l’inceste et les violences faites aux enfants, ainsi que plusieurs films diffusés sur les chaînes grand public. Et en effet, entre le 24 septembre et le 2 octobre, trois chaînes de télévision ont diffusé film ou documentaire sur les violences sexuelles faites aux enfants, afin de sensibiliser, de faire prendre conscience, de tenter de faire bouger les lignes dans notre société.
On parle également de plus en plus des actes de harcèlement sur les adolescents dans les collèges et lycées.
Et dans la nuit, j’ai repensé à ce texte biblique de la ligature d’Abraham.
Plusieurs commentaires de ce texte biblique font référence à un livre de René Girard, dans lequel il expose sa thèse sur le sacrifice : que le sacrifice soit rituel religieux, ou qu’il soit spontané, le sacrifice est la seule issue que les sociétés humaines aient trouvé pour échapper à la violence ; mais c’est encore la violence qui s’y satisfait et s’y dissimule aux dépens des victimes.
Pour lui, tout commence par la rivalité entre deux personnages qui s’affrontent, où s’exprime le désir mimétique. En effet, les hommes ne désirent pas ceci ou cela ; ils désirent ce qui leur a été désigné par un autre comme étant désirable. Désirer, c’est d’abord imiter. Donc cela passe par un modèle, qui très vite peut devenir un rival. Et quand chacun des deux veut le même objet, la même activité, la même place, il y en a qui est de trop ! Au fond, ce que les humains désirent plus encore que l’objet q’’ils convoitent, ils désirent rivaliser. Donc à terme, de rivalités en rivalités, à force que chacun veuille posséder ce que l’autre possède, ou que chacun veuille faire ce que l’autre fait, comme la violence est contagieuse, ces jeux du désir conduisent à une crise générale. Pour sortir de la crise, pour éviter de laisser le collectif disparaître dans cet emballement de violence, parfois dissimulé et non-dite (sachant que le collectif, ce peut être juste un groupe, une famille, une communauté…), on adopte la solution de la victime sacrificielle. Alors, on concentre toute la violence collective sur un individu, un seul constitué en victime émissaire, et cela permet d’aboutir ensuite à la réconciliation au sein du groupe. Après avoir frôlé le chaos, la société voit son ordre soudainement rétabli. C’est donc bien la preuve, se dit le groupe, que celui qui a été éliminé était bien le fauteur de trouble, celui qui avait empoisonné la situation.
Cela, même dans une cour d’école, nous pouvons le vérifier. Il y a toujours un enfant « pas comme les autres » qui se trouve ainsi désigné pour faire les frais d’une situation qui tourne mal.
Pour un certain nombre de raisons, le sacrifice d’Isaac ne correspond pas vraiment au modèle du sacrifice exposé par René Girard. En revanche, il y correspond par un certain nombre d’aspects :
D’une part, la victime est seule contre tous. Cet individu devra être expulsé ou anéanti pour libérer le groupe de sa violence. Et pour que cette libération de la violence puisse arriver, il faut que la victime consente à ce qui lui arrive, même si c’est à son insu. Il faut qu’elle ne se rebelle pas, mais qu’elle se soumette silencieusement à ce qui lui arrive. Et l’effet décisif qui est attendu par le groupe, c’est le passage du désordre à l’ordre. C’est la solution toute trouver par de nombreux groupes humains pour sortir d’une crise générale qui risque d’emporter le groupe comme un séisme.
D’autre part, Gn 22 correspond aussi au modèle de Girard car il est construit sur une injonction contradictoire « fais ceci, ne fais pas ceci ». il considère que nous produisons en permanence cette double injonction contradictoire dans notre rapport aux autres. Et ici, le texte repose sur un « tue » et « ne tue pas » du même type. Pour Girard, cette contradiction est essentielle, elle nous conduit à toujours imiter un désir concurrent. D’où la rivalité et la violence… qu’il faut évacuer par un sacrifice quand la crise éclate.
Dans la situation de l’inceste en particulier, on peut se demander si l’enfant innocent n’est pas, justement, la victime toute trouvée pour évacuer les conflits qui menacent le groupe familial. Car évidemment, aucune famille n’est à l’abri de la violence, laquelle habite tout être humain. Il est bien des manières de « tuer » un enfant, ou de l’anéantir, en le baladant dans la contradiction entre l’amour et la haine, en lui imposant le silence, ou plutôt le mutisme, le secret… « ne le dis à personne »… et souvent le plus terrible pour les victimes, c’est l’aveuglement de la famille autour de lui : la mère, les frères et sœurs… un des films dont je parlais a pour titre « les yeux grand fermés ». Ceci est valable pour l’inceste comme pour les autres violences familiales, évidemment.
Abraham aurait pu devenir un meurtrier ; mais il a entendu et écouté la parole du messager de Yahvé ; cette parole a interrompu le geste qu’il s’apprêtait à commettre : tuer son fils, son unique. Cette parole lui a fait lever les yeux. L’expression « lever les yeux » en hébreu est très souvent utilisée pour dire « prendre conscience », « réaliser », c à d voir dans le sens profond, voir vraiment clair. Il a d’ailleurs appelé ce lieu « Yahvé a vu ». Oui, l’Eternel a vu et lui a fait voir pour libérer Isaac de la main de son père.
Alors oui, ce n’est pas facile, pour la victime – parfois même impossible – d’être le fauteur de trouble, celui qui va briser la fausse paix qui règne, la fausse harmonie dont tout le monde a tant besoin en rentrant dans le foyer, dans son chez soi…
Ce n’est pas facile pour la mère, le frère, la sœur, l’instituteur, le voisin, de briser le tabou, de briser la loi du mutisme pour libérer la victime. Ce n’est pas facile la peur du qu’en dira-t-on a tué tellement et tue encore combien d’enfants ! qui aura la force d’assumer d’être celui qui vient mettre l’épée plutôt que la paix au sein d’une famille dysfonctionnelle qui refuse la confrontation et la parole libre, qui refuse l’altérité et la différence ? Oui, ce n’est pas la paix que Jésus est venu apporter, mais l’épée. L’épée de la vérité. L’épée qui délivre les plus petits des embrigadements au sein de clans, rassurants, certes, mais aussi mortifères que des eaux marécageuses.
Qui osera la Parole qui délie et qui délivre, là où l’on voudrait rester collés-serrés dans l’entre-soi où l’on ne sait même plus différencier les générations les unes des autres, où tout est mêlé, tout est confus ?
Dans les récits bibliques, le sacrifice dérive car la victime est épargnée. Le sacrifice y est dénoncé comme une mauvaise solution pour réconcilier les rivaux, car c’est une réconciliation obtenue par la violence, elle finira donc aussi dans la violence. Et donc, ce texte de Gn 22 présente un récit d’apparence sacrificielle qui, en réalité, dénonce le sacrifice comme mauvaise solution aux rivalités des hommes.
Les textes bibliques ont cette particularité, nous dit René Girard, de ne pas enfermer l’être humain dans le sacrifice, car les textes bibliques, eux, plutôt que de valoriser une fausse paix au sein d’un groupe, présentent les événements du point de vue de la victime, à partir de la victime, et à partir de là, les textes bibliques dévoilent une violence dissimulée depuis toujours. En particulier dans les chants du serviteur de Yahvé, Esaïe proclame l’innocence de la victime que les autres ont prétendu charger de tous les péchés du monde. Girard considère que les Evangiles lisent les mythes à partir du point de vue du bouc émissaire, et non pas pour écraser les victimes. Cela a pour effet de révéler la violence cachée au sein des hommes et d’amener à la remise en question, à sortir de l’aveuglement meurtrier.
Girard met en avant la nécessité du dialogue plutôt que de la violence, et surtout, pour lui, pour démanteler ce mécanisme du bouc émissaire, il considère qu’il faut que chaque individu sorte de la foule, sorte du clan. Il faut mettre en œuvre le principe d’individuation, où chacun assume le fait de ne pas être anonyme dans un groupe, mais assume sa propre responsabilité personnelle. En cela, il rejoint la pensée du philosophe juif Levinas, qui écrit que « la responsabilité est une individuation, un principe d’individuation ». Il nous faut sortir des lymbes maternelles, familiales, claniques et assumer le principe de la responsabilité individuelle.
En cela, il rejoint aussi de très nombreux textes bibliques, aussi bien dans le Premier testament que dans le Nouveau testament. « Va vers toi », dit l’Eternel à Abraham ; va vers toi et va pour toi, individue-toi, quitte la matrice fusionnelle, quitte ton clan, et c’est par le biais de cette individuation que tu seras d’autant plus capable d’établir des relations authentiques, y compris avec tes proches ; et c’est par le biais de cette individuation, que tu seras capable d’assumer ta responsabilité dans la société.
Pour cela, nous pouvons compter sur la force de maturation que l’Esprit du Christ éveille en chacun, chacune de nous. Amen.
Ct 52-17 Libres de nos chaînes
Confession de foi n°13
Offrande et annonces
Prière d’intercession et notre Père
Eternel, comme des vases cherchant ce qui les remplira, nous te présentons nos manques et nos quêtes :
Donne
A ceux et celles qui visent la perfection, de mourir et de ressusciter à eux-mêmes à la suite du Christ ;
A ceux que l’orgueil rend aveugles, d’accueillir ta lumière sur leurs faiblesses ;
A ceux qui cherchent sans cesse l’élévation, d’apprendre avec toi à redescendre pour être pleinement à leur place.
A ceux qui manquent de courage ou d’esprit d’initiative, de recevoir les ailes de la confiance en toi.
Garde-nous du désir de ressembler aux autres, car tu fais de chaque personne un être unique, dans un mélange étonnant de force et de faiblesse, de beauté et de simplicité. Et fais de nous des témoins de la Vérité.
Dans le secret de nos cœurs, nous te confions les êtres et les situations qui nous préoccupent particulièrement (silence)
Et avec Jésus, nous te disons : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du mal. Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, pour les siècles des siècles. Amen.
Envoi et bénédiction
Jésus est le chemin ! Au jour de l’angoisse qui se mue en impasse, fais confiance à celui qui ouvre les routes de l’impossible, et fais un pas avec lui, avec son courage et son audace.
Jésus est la vérité ! Si tu veux savoir quelque chose, sache qu’en tout lieu, l’Eternel te précède et t’attend.
Jésus est la vie ! Si tu traverses les vallées de l’ombre et de la mort, tu ne craindras pas le mal, car le Vivant t’éclaire et te relève.
Jésus est le chemin, la vérité et la vie. Va, et sois son témoin !
Pour cela, que l’Eternel garde vos pensées et vos cœurs en Jésus-Christ ! Amen.
Spontané « Enseigne-moi »