Culte à Sète du 30 juillet 2023

Culte du 30 juilllet à Sète

Musique

Accueil et prière

Si vous marchez dans la nuit, si la vie est obscure autour de vous, si votre avenir est incertain et votre présent douteux, si vous avez peur… écoutez alors la très ancienne et très noble parole d’espérance :

La joie et la vie, la force et le courage, vous sont donnés par Celui dont la Présence monte en vos cœurs : Père, Fils, Esprit, merveilleuse Trinité d’amour qui nous rend proches les uns des autres. Amen

spontané

Louange et reconnaissance

Éternel, tu nous as aimés le premier ; avant que nous existions, avant nos pères, avant les débuts obscurs dont sortit l’humanité, tu nous as aimés.

Mieux qu’une mère qui attend un enfant, qui pense à l’inconnu qui sommeille en elle, tu nous as aimés d’avance et portés. Car nous sommes ton espérance. Nous sommes ta joie et nous sommes ta douleur.

Malgré l’immense peine que tu subis par nous, tu nous as voulus et tu nous veux encore, toujours. À travers les obstacles, les chemins perdus, les gouffres, tu nous veux, tu nous mènes, tu communies avec nous.

Tu nous aimes victorieusement, avec une puissance devant laquelle tout cèdera. Tu boiras avec nous les calices, tu combattras tous les combats, tu descendras dans toutes les tombes, jusqu’à la fin et la fin sera bonne.

Nous t’aimons du fond des nuits, ô notre étoile immortelle et vivante. Dans toutes nos infirmités, nous aimons ta force ; dans toutes nos laideurs, nous aimons ta beauté. Nous t’aimons comme le désert aime la source ; comme le désespoir aime le salut, comme le pèlerin aime l’ombre, et le malade la santé. Béni sois-tu, Seigneur notre Dieu.

Ct mon ancre et ma voile page 33

Notre vie devant Dieu

Souffle de Dieu pour notre terre,

Feu qui consume nos lâchetés et nos silences

Feu qui allège nos existences,

Aie compassion de nous.

Souffle de Dieu pour notre terre,

Feu qui dissout l’orgueil et la haine,

Feu qui brûle nos divisions,

Aie compassion de nous.

Souffle de Dieu pour notre terre,

Feu qui illumine notre foi

Feu qui allume en nous la fête de la présence

Creuse en nous la place du Dieu vivant, du Dieu « pour la vie ». Amen

spontané

Parole de résurrection de la part de Dieu

Il n’est jamais trop tard pour Dieu, Il ne fait jamais trop sombre pour Dieu, et nul n’est jamais perdu pour lui. Rien ni personne ne prendra jamais notre place en Sa maison : Il nous attend, il nous attendra encore, le temps qu’il faudra ! Cette fois nous savons où aller : nous mettrons nos pas dans ceux du Ressuscité. Et déjà la fête commence, elle durera pour l’éternité, car c’est moi, dit Dieu, c’est moi qui vous réconforte, afin que votre joie soit parfaite. Amen.

Spontané

Prière d’illumination

Esprit saint, visite de Dieu dans nos vies, toi qui nous revêts de clarté comme d’un manteau, Illumine nos cœurs !

Esprit saint, toi qui forces le mal à se traîner comme un rampant, viens délier notre intelligence et sois présent dans notre partage d’Evangile !

Parle Seigneur, ton serviteur écoute.

Lectures bibliques

Nous lisons dans la lettre de Paul aux Romains, au chapitre 8, les versets 31 à 39 :

Que dirons-nous donc à ce sujet ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi tout avec lui, par grâce ? Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? C’est Dieu qui justifie !

Qui condamnera ? C’est Jésus-Christ qui est mort ! Bien plus, il s’est réveillé, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! Qui nous séparera de l’amour du Christ ? La détresse, l’angoisse, la persécution, la faim, le dénuement, le péril, ou l’épée ?

Ainsi qu’il est écrit :

A cause de toi, on nous met à mort constamment. On nous considère comme des moutons qu’on égorge. Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car je suis persuadé que ni mort, ni vie, ni anges, ni principats, ni présent, ni avenir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre création ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu en Jésus-Christ, notre Seigneur.

Nous lisons dans l’évangile selon Matthieu, au chapitre 13, les versets 44 à 52 :

Voici à quoi le règne des cieux est semblable : un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a trouvé le cache et, dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il a pour acheter ce champ-là. Voici encore à quoi le règne des cieux est semblable : un marchand qui cherchait de belles perles. Ayant trouvé une perle de grand prix, il est allé vendre tout ce qu’il avait pour l’acheter.

Voici encore à quoi le règne des cieux est semblable : un filet jeté dans la mer et qui rassemble des poissons de toute espèce. Quand il est rempli, on le tire sur le rivage, puis on s’assied, on recueille ce qui est bon dans des récipients et on jette ce qui est mauvais. Il en sera de même à la fin du monde. Les anges s’en iront séparer les mauvais du milieu des justes et ils les jetteront dans la fournaise ardente ; c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents.

Ct quel ami fidèle et tendre page 40, st 1, 2 et 3

Prédication

Une lecture de l’évangile du jour dans le droit fil de celui de dimanche dernier. Pas évident de le comprendre, ce Règne des cieux, d’autant plus quand il se termine par la fournaise ardente, les pleurs et les grincements de dents. Je vous avais dit que nous verrions plus tard la question du jugement dernier, mais puisque le texte du jour y fait référence à nouveau, l’occasion m’est donnée d’avancer en eau profonde sur ces paraboles, dès aujourd’hui.

Si l’on considère l’histoire de la chrétienté, il faut bien reconnaître que l’on a usé et abusé de cette représentation d’un Dieu d’amour capable, dans une sorte de retournement pervers, d’infliger une torture éternelle. Pendant longtemps, ce langage apocalyptique et ces images ont entretenu une « pastorale de la peur » ayant pour but d’attacher les fidèles aux consolations de l’Eglise, et ainsi de remplir les temples et les églises. Et cela existe encore, la « pastorale de la peur », dans certains milieux ; le but étant de s’attacher les fidèles et de les garder sous contrôle, en insinuant la peur en elles. Et cette « pastorale de la peur » a aussi contribué, à juste titre, aux progrès de l’athéisme à l’époque contemporaine.

C’est pourquoi, à notre époque, il est devenu assez rare d’entendre prêcher sur de tels textes… ce n’est pas trop tendance !

Mais alors, si l’on retire à l’évangile la colère de Dieu et son jugement, cela ne risque-t-il pas de le rendre superficiel et insignifiant, cet évangile ? Le risque serait d’évoquer l’amour de Dieu comme un édulcorant – d’ailleurs, Jésus ne nous demande pas d’être de « sucre », mais de « sel »… Le risque, en supprimant le jugement de Dieu, serait de retirer tout pouvoir à cet amour divin. Peut-on parler vraiment de l’amour de Dieu sans parler aussi de son jugement ? peut-on séparer amour et jugement ? peut-on séparer miséricorde et justice ? Car si Dieu est Amour, il l’est pour tous ; pas pour certains privilégiés qui auraient le droit de tout faire et de tout imposer, au détriment des autres. Tous, toutes, sont au bénéfice de l’amour de Dieu ; il faut donc bien qu’il y ait la justice de Dieu aussi.

Mais un premier point très important, c’est d’avoir bien en tête que le jugement de Dieu n’est pas à l’image du jugement des hommes – auxquels est adressé le commandement de ne pas juger d’ailleurs. Non pas qu’il ne doive pas y avoir de tribunaux, bien sûr qu’il faut juger les actes commis par les uns et les autres, sans quoi aucune vie sociale ne serait possible, la communauté humaine serait délitée très rapidement s’il n’y avait plus de loi pour régir la société. Ce que le commandement nous interdit, c’est de nous juger les uns les autres en tant que personnes. Il n’y a pas des « méchants », il y a des personnes qui commettent des actes pervers ou destructeurs. Nous n’avons pas à confondre les personnes et les actes, d’ailleurs, la justice civile condamne les actes. Alors bien sûr, la personne qui est responsable de ces actes ira bien en prison, mais ce n’est pas la personne dans ce qu’elle est fondamentalement qui est jugée. Cette part-là n’appartient qu’à Dieu seul. Nous n’avons pas à nous juger les uns les autres en tant que Personnes.

Je disais donc que le jugement de Dieu n’est pas à l’image du jugement des hommes ; Non pas que le jugement de Dieu soit plus éclairé, mais simplement, il obéit à une tout autre logique, car Dieu est Amour. Celui qui juge est Amour. Certes, il arrive à l’être humain d’aimer ; mais l’être humain n’est pas amour, et cela fait une différence infinie.

De plus, dans la foi chrétienne, celui qui juge, c’est le Christ lui-même, le prince de la paix, l’agneau immolé. C’est un agneau immolé qui juge, et pas un Dieu vengeur. C’est un agneau immolé qui, selon l’évangéliste Jean, n’est pas « venu pour juger le monde mais pour le sauver », et qui « est venu chercher et sauver ce qui était perdu »

Nous sommes donc appelés à lire ces récits du « jugement dernier » à la lumière de la foi, en les confrontant à quantité d’autres textes bibliques qui soulignent l’amour de Dieu sans condition ; par exemple, l’apôtre Paul écrit aux Ephésiens : « c’est bien par grâce que vous êtes sauvés. Avec lui, il nous a ressuscités ; avec lui, il nous a fait régner aux cieux, dans le Christ Jésus ; c’est bien par la grâce que vous êtes sauvés, à cause de votre foi. Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu ». Dans sa lettre aux Romains il écrit : « Christ est mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs… là où le péché a abondé, la grâce a surabondé ».

Deuxième point, dans ces paraboles du jour que nous avons entendues, le Royaume des cieux, est comparé à un trésor, un très grand bien, un bien plus grand que tous ceux que l’on peut posséder ; et il est comparé aussi à un lieu, un lieu d’où le mal est retiré, un lieu d’où Dieu délivre du mal. N’est-ce pas ce que nous demandons quand nous prions le Notre Père : Délivre-nous du mal ? Du mal commis par d’autres, du mal que nous commettons. La délivrance du mal, n’est-ce pas ce que nous souhaitons tous ? et c’est peut-être bien cela, justement, le trésor, l’inouï, le plus-grand-bien-que-tous-les-biens : la délivrance du mal, par Dieu lui-même.

En fait, ces récits d’un genre que l’on dit « apocalyptique » annoncent une re-création, une nouvelle création, un nouveau monde ; et ce nouveau monde, il surgit à l’aide d’une séparation : séparation entre, d’un côté, le Règne des cieux, et de l’autre, tout ce qui produit le mal dans le monde ; avec la perspective heureuse d’une séparation finale et radicale de ce qui est bon par rapport à ce qui est mauvais. Perspective heureuse que les œuvres mauvaises seront enfin anéanties, afin que la Vie, elle, puisse sortir du néant.

Tous ces textes n’ont pas la prétention de décrire ce qui va arriver à la fin des temps, comme si une fin chronologique était programmée et que l’on nous disait : voilà le spectacle de l’après-vie qui vous attend. Ces textes ont pour but d’éveiller la conscience du lecteur ; ils ont pour but de faire sortir l’auditeur de sa place d’auditeur et de le responsabiliser dans les choix qu’il fait ici et maintenant. Ces textes mettent en garde, éduquent, stimulent et nous rappellent que nos actes ont des conséquences. Oui, nos actes ont des conséquences, dès ici et maintenant. Alors bien sûr, si nous souffrons, si nous tombons malade, si nous traversons des épreuves, cela ne signifie pas forcément que nous avons commis le mal, évidemment ! les apôtres de Jésus et ses disciples ont eu et ont encore à souffrir en raison de l’annonce de l’évangile, donc la souffrance n’est pas forcément le signe que le mal agit à travers nous, c’est clair, cela peut même être le contraire.

Par contre, si nous commettons le mal, nous sommes assurés de souffrir à un moment ou à un autre ; car nos actes ont des conséquences. Et ce n’est pas la punition d’un Dieu vengeur. C’est un loi quasiment physique. Si je mets ma main dans le feu, je vais atrocement souffrir, c’est évident. Et ce ne sera pas un châtiment divin ni un jugement. C’est juste logique.

Troisième point, si la justice de Dieu n’est pas la justice des hommes, si donc c’est un Agneau immolé qui juge les actes, de quelle justice s’agit-il ?

Un théologien propose une piste que je trouve intéressante. Il distingue trois sortes de justice :

1/la justice vengeresse, ou justice punitive, répressive ; elle répond au mal par le mal, soit par un mal équivalent, soit par un mal plus grand. Cette justice ajoute du mal au mal. Cette justice-là n’est pas la justice de Dieu, car il est amour.

2/la justice distributive ; celle-ci rend à chacun selon ses œuvres. C’est la récolte de ce que nous avons semé. C’est ce dont je vous parlais en vous disant que nos actes ont des conséquences. Cette justice est effectivement présente dans l’AT comme dans le NT. Mais cette justice distributive, si elle est bien présente, n’a pas le dernier mot, car elle est comme subvertie de l’intérieur par la grâce de l’amour inconditionnel toujours offert . Cet amour inconditionnel toujours offert, il dénoue les sanctions et les peines, pour les rouvrir à un avenir, à un possible. Il s’agit de la justice restauratrice. Celle qui va permettre de restaurer les personnes, un peu comme on restaure une œuvre d’art abimée.

Cette justice restauratrice peut se découper en trois moments :

a/Il y a d’abord le temps de l’examen, de l’évaluation de nos actions, plus ou moins bonnes. C’est un moment d’épreuve : épreuve de vérité, de lucidité quand nous déposons notre vie devant Dieu. Il ne s’agit pas de vouloir faire toute la vérité, car les responsabilités des uns et des autres ne sont pas toujours très claires, il y a toujours du « clair-obscur » dans les relations, mais il s’agit de faire « assez de vérité » pour savoir reconnaître qu’une guérison, un pardon, est nécessaire, et où il est nécessaire.

b/le deuxième temps est celui de la mise à l’épreuve du désir. Que désires-tu vraiment ? que désires-tu par-dessus tout ? quel est ta perle, ton trésor ? et comment ce trésor va-t-il t’aider à trouver une voie, une voie nouvelle, une voie qui t’indique comment réagir, soit par rapport au mal que l’on t’a fait, soit par rapport au mal que tu as toi-même commis, et parfois les deux à la fois ? Vers quoi ton désir de vie et d’amour te porte-t-il ?

Dans la justice restauratrice, le désir ne prend pas le chemin de la punition, mais de la réparation. Il s’agit de désirer faire le bien, mettre du bien, là où le mal a été commis ; il s’agit de s’appliquer à réparer les choses ; autant que possible évidemment. On ne pourra pas effacer le mal qui a été commis, mais il peut y avoir un moment sincère de repentir, de conversion et d’engagement dans la réparation. Cela suppose un temps de rencontre avec l’autre, celui que l’on a blessé, ou celui qui nous a blessé ; cela suppose une possibilité de dialogue et d’échange, de conciliation à travers un engagement à réparer et/ou une demande de réparation.

c/Enfin, le troisième temps de cette justice restauratrice, c’est le moment où le fautif reçoit le pardon intérieurement, le moment où il reçoit quelque chose qui le remet debout dans sa dignité de sujet. Ce n’est pas la réparation qui produit le pardon ; le pardon, l’amour sans condition était déjà là, donné à l’avance, mais il fallait passer par les moments antérieurs pour pouvoir l’entendre, le recevoir et l’éprouver concrètement. La réparation n’efface pas ce qui a été commis, mais la réparation ouvre un avenir à celui qui a fait subir le mal, comme à celui qui l’a subi.

Voilà, frères et sœurs, ce que je pouvais vous dire aujourd’hui sur le jugement divin. Dans cette perspective, l’enfer est possible, oui, mais pas comme un lieu dont Dieu nous menace. L’enfer est possible comme un lieu où nous pouvons nous-mêmes nous enfermer. C’est ce que l’Ecriture appelle « l’endurcissement du cœur ». C’est ce qui se produit quand, face à la bonté offerte, la personne réagit par la haine ou la méchanceté parce qu’elle préfère la justice punitive ou distributive. Ce n’est pas Dieu qui met en enfer, c’est l’endurcissement du cœur qui nous enferme. Heureusement pour la foi chrétienne, Jésus est descendu dans nos enfers pour y maintenir les portes ouvertes, de sorte que chacun, chacune, puisse toujours en sortir. Amen.

Musique

Ct je crois et j’espère page 22

Confession de foi n° 13 page 44

Spontané page 29

Offrande

Annonces

Une écharpe bleu marine perdue dans la cour du temple pendant Voix vives (m’en parler si quelqu’un l’a trouvée)

le décès de Jean Marc Sorbier (de Génholac) (culte de consolation jeudi dernier) – prions pour sa famille

la bénédiction de mariage de Valérie et Thierry Zoïa (canal du midi) a eu lieu semaine dernière

Ct parlez au cœur du monde page 42

Prière d’intercession et Notre Père (Véronique)

Merci notre Dieu car ce matin encore ta Parole nous a été donnée pour qu’elle éclaire nos consciences et nous fasse grandir dans la foi et en humanité.

Nous te prions :

Pour les poètes du monde entier qui viennent exprimer les douleurs et les espérances du monde, que ta Parole les rejoigne dans leur quette de vie.

Pour ceux et celles qui sont nés dans des pays en guerre, et qui y vivent dans les souffrances du deuil, de la perte, de la peur, qu’ils trouvent le réconfort de personnes à leur écoute, agissantes pour les défendre contre les injustices et l’oppression. Que ton église soit agissante auprès d’eux.

Pour les prisonniers et les torturés, les exilés et les réfugiés de tous les pays,apprend-nous à les soutenir et à les entourer de ta tendresse.

Nous te prions :

Pour ceux et celles qui sont nés dans des milieux défavorisés, pris au piège de la pauvreté, de l’insécurité, des agressions, des drogues, de l’enfermement, que notre regard ne soit pas jugement mais compassion, que notre réaction soit l’entraide et non la fuite, c’est ce que tu attends de ton église.

Nous te prions pour ceux et celles qui dans l’insouciance et l’abondance se préoccupent uniquement d’eux-mêmes,

Pour les croyants guettés par le doute et pour les incroyants que la soif de comprendre et la joie de vivre rapprochent mystérieusement de toi

Nous te prions pour ceux et celles qui comptent sur notre prière , nous te les nommons dans le secret de nos cœurs.

Nous avons tant besoin de ta grâce, nous nous remettons entre tes mains et nous nous confions à ton amour, manifesté en Jésus-Christ. Amen

Envoi

Prenez le temps de jouer, c’est le secret d’un cœur d’enfant.

Prenez le temps de rire, c’est une gorgée d’eau fraîche.

Prenez le temps de donner, c’est du pain pour l’affamé.

Prenez le temps d’aimer et d’être aimé, c’est une grâce de Dieu.

Prenez le temps de prier, c’est votre force sur la terre et pour la terre.

Bénédiction

Recevons la bénédiction de la part de Dieu :

Dieu est proche de chacun, chacune de nous. Il nous donne sa paix, sa joie, et la chaleur de son amour, dont rien ne pourra jamais nous séparer. Amen

spontané

 

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