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Culte à Sète du 13 août 2023
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Culte du 13 août 2023 à Sète
Musique
Annonce de la grâce et de la paix
Ton Seigneur et ton Dieu vient à toi. Le sauveur du monde vient pour toi. La rencontre, l’amour, le partage, l’espérance et la vie viennent à toi. Offre tout ton être, toute ton attente et tout ton amour à la venue du Père, du Fils et de l’Esprit
Je vous invite à la prière
Seigneur notre Dieu, réveille notre ardeur à t’aimer de tout notre cœur, et notre désir de vivre de l’Evangile à la suite de Jésus le Christ, d’aimer notre prochain comme nous-même, et nous-même comme notre prochain ;
Ranime notre ferveur dans la prière et notre joie dans les plaisirs simples, les amitiés, les rencontres familiales, nos engagements professionnels ou dans d’autres lieux ;
Ranime notre confiance dans l’espérance, et notre paix dans la traversée des hauts et des bas de nos existences,
Pour que nous marchions avec courage, ouverture et confiance au-devant de Celui qui vient dans l’inattendu de nos jours, Jésus-Christ notre sauveur. Amen.
Spontané
Louange et reconnaissance
Notre Dieu, nous voulons nous poser en toi pour dire notre merci, notre louange
Par la nature que tu nous confies, par les montagnes et les gouffres, les sources et les océans, par les arbres centenaires et par les fleurs des champs, par le soleil et la lune, par ces signes de ta présence dont nous suivons la trace, tu renouvelles notre espérance. De tout notre cœur, nous te disons : merci !
Par les hommes qui aiment le bien, par tous ceux qui se battent pour la justice et la paix, par les marques de courage, les gestes de charité, par ceux qui recommencent et qui savent pardonner, par les plaisirs simples de l’amitié et d’une table partagée, par ces signes de ta présence dont nous suivons la trace, tu renouvelles notre espérance. De toute notre âme, nous te disons : Merci !
Par ton Eglise vivante aux quatre coins de notre terre, tes disciples qui se retrouvent et qui te nomment « Père », aussi pauvres et fragiles qu’un souffle, une prière, mais riches de ta Parole qui fait de nous des frères, par ces signes de ta présence dont nous suivons la trace, tu renouvelles notre espérance. De toute notre intelligence, nous te disons : Merci ! Amen.
Ct 222, st 1, 3, 6
Notre vie devant Dieu
Notre temps est parfois pesant, triste, lourd. La morosité et la tristesse nous guettent. C’est pourquoi, aujourd’hui encore, nous sommes appelés à nous tourner vers le Seigneur tout Amour.
Apprends-nous Seigneur, à inscrire ta nouveauté dans nos habitudes, ton espérance sur nos lassitudes, ta présence dans notre solitude, ta paix sur nos inquiétudes.
Que ton Esprit nous bouleverse ! Que ta parole nous transperce ! que ton amour nous rafraîchisse ! que ton Evangile nous convertisse ! Amen
Parole de résurrection de la part de Dieu.
Aujourd’hui, le Seigneur passe, il nous appelle à sortir de nos cavernes. Ecoute ! Il est ce bruissement qui te murmure une parole de grâce et de consolation. Le souffle de son pardon est léger, mais il s’infiltre au cœur de ta détresse ; il vient se poser sur le lieu de ta blessure. Aujourd’hui, le Seigneur passe ; il te dit : « Sors et reprends ton chemin ». Amen.
Spontané
Annonce du Règne de Dieu
Le Sage Qohélet nous dit : « Va, mange avec joie ton pain, et bois gaiement ton vin; car dès longtemps Dieu prend plaisir à tes œuvres. Jouis de la vie avec la femme que tu aimes, pendant tous les jours de ta vie de vanité, que Dieu t’a donnés sous le soleil ; car c’est ta part dans la vie, au milieu de ton travail que tu fais sous le soleil »
Spontané
Prière d’illumination
Parfois, Seigneur, ta parole est acide et décapante. Parfois, elle est douce et apaisante. Que souffle ton Esprit sur nous ce matin, et ta parole sera vivante, stimulante, fortifiante et renouvelante. Seigneur, que parle ta Parole. Amen.
Lectures bibliques (Daniel )
Nous lisons dans le livre de l’Ecclésiaste, au chapitre 1 les versets 1 et 2
Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.
Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.
Au chapitre 2, les versets 4 à 10 :
J’ai fait de grandes choses : je me suis bâti des maisons ; je me suis planté des vignes ; je me suis fait des jardins et des parcs, et j’y ai planté toutes sortes d’arbres fruitiers ; je me suis fait des réservoirs pour arroser de leur eau une pépinière de jeunes arbres. J’ai acheté des esclaves et des servantes,
et leurs fils nés dans la maison ; j’ai possédé du gros bétail et du petit bétail en abondance, plus que tous ceux qui étaient avant moi à Jérusalem. J’ai aussi amassé de l’argent et de l’or, de précieux trésors des rois et des provinces. J’ai acquis des chanteurs et des chanteuses, et, délices des hommes, beaucoup de femmes.
Je suis devenu grand, j’ai surpassé tous ceux qui étaient avant moi à Jérusalem,
et ma sagesse demeurait avec moi. Tout ce que mes yeux ont réclamé, je ne les en ai pas privés ; je n’ai refusé aucune joie à mon cœur ; car mon cœur se réjouissait de tout mon travail ; c’est la part qui m’est revenue de tout ce travail.
Et moi, je me suis retourné vers toutes les choses que mes mains avaient faites,
le travail pour lequel j’avais tant peiné : tout n’est que vanité et poursuite du vent, il n’en résulte aucun avantage sous le soleil.
Au chapitre 2, les versets 22 à 26 :
En effet, que revient-il à l’être humain de tout le travail et de la préoccupation qu’il s’est donnés sous le soleil ? Tous ses jours ne sont que tourments, ses occupations contrariétés ; même la nuit son cœur n’a pas de repos. C’est encore là une futilité. Il n’y a de bon pour l’être humain que de manger, de boire et de voir le bonheur dans son travail ; moi, je l’ai vu, cela vient de Dieu.
Au chapitre 3, les versets 12 et 13 :
J’ai reconnu qu’il n’y a de bonheur pour les hommes qu’à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie; mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c’est là un don de Dieu.
Enfin, au chapitre 9, les versets 7 à 9 :
Va, mange ton pain avec joie, et bois ton vin le cœur content : déjà Dieu a agréé tes œuvres. Qu’en tout temps tes vêtements soient blancs, et que l’huile ne manque pas sur ta tête. Jouis de la vie avec la femme que tu aimes, pendant tous les jours de la vie futile que Dieu t’a donnée sous le soleil, pendant tous tes jours futiles ; car c’est ta part dans la vie et dans le travail que tu fais sous le soleil.
Ct 232
Prédication
Vanité des vanités, dit Qohéleth, vanité des vanités, tout est vanité.
Ainsi commence ce livre de l’Ecclésiaste, ou Qohélet, deux appellations pour une même œuvre, dont nous avons déjà parlé dimanche dernier. Qohélet est probablement un professeur de l’époque hellénistique (environ -300), soit lié au temple, soit indépendant. Peut-être que son livre conserve les notes des cours qu’il donnait à ses étudiants. Qohélet appartient au même milieu que l’auteur du livre de Job : ils appartiennent à une classe aisée. Avant la déportation du peuple juif à Babylone, ce milieu aristocratique pouvait résumer sa vie à l’aide de la doctrine de la rétribution : si je suis riche et bien portant, c’est que je le vaux bien. Mais après l’exil, le peuple juif est sous la dépendance d’un pouvoir étranger et les aristocrates d’avant ont perdu leur place privilégiée. Donc Dieu est devenu incompréhensible et semble se cacher à son peuple. Comment le sage va-t-il réagir face à cette situation dans laquelle l’ordre traditionnel ne semble plus garanti ? (la rétribution) C’est ce que nous livre cette œuvre, dont nous ne verrons aujourd’hui que quelques passages.
Vanité des vanités, dit Qohéleth, vanité des vanités, tout est vanité.
Après avoir exploré la marche générale du monde, après avoir exploré la sagesse elle-même et ses contraires, dont il se rend compte que cette sagesse n’est pas transmissible entre les générations et que chacun est appelé à faire lui-même sa propre expérience de la vie, le sage se lance à corps perdu dans une recherche effrénée de plaisir, de pouvoir, d’argent. Puis il se rend compte que toutes les entreprises qu’il a menées n’auront finalement été qu’un feu de paille. Tout le bien qu’il a cru pouvoir amasser, tout le bonheur qu’il a cru pouvoir se fabriquer, tout cela n’est que fumée.
Peut-être que son erreur aura été de chercher le plaisir pour le plaisir, d’en faire une finalité. Peut-être a-t-il pensé que le plaisir dissoudrait son angoisse. Or le plaisir n’est pas le fin mot de l’homme, il ne dit pas tout de lui. L’homme est plus que le plaisir ; et quand l’homme entend s’y sacrifier, cette fausse joie devient triste, elle aussi, elle se révèle fragile. Elle ne peut donc pas être le rocher auquel l’homme a besoin de s’arrimer.
Le sage a essayé de se noyer dans le vin… mais tout en gardant assez de lucidité pour savoir si, vraiment, le vin tenait toutes ses promesses et le rendait heureux. Il s’est drogué sans se laisser complètement intoxiquer. Mais là encore, sa déception a été grande. Alors, il s’est jeté à corps perdu dans de grands travaux, dans l’activisme et la recherche de la gloire, du renom. Il a voulu laisser des œuvres qui perpétueraient son nom et son génie. Mais de toute cette gloire éphémère, il ne lui reste finalement que de la peine. Car l’homme est plus, bien plus, que ses œuvres, même les plus grandes.
Déçu, il s’est tourné vers ce qui semblait le plus prometteur : la richesse sous toutes ses formes, et toutes les distractions qu’elle permet. Il s’est lancé dans tous les divertissements possibles et imaginables. Mais on ne peut pas passer toute sa vie dans les bras des filles ; Don Juan lui-même se fatigue et se lasse. Il vieillit aussi. Et s’il lui reste un brin de sagesse, il est contraint de s’avouer qu’il est plus que tous ces plaisirs et tous ces délices qui, lorsqu’il les a recherchés pour eux-mêmes, se sont toujours révélés tristes.
Il est allé au bout de chaque chose, mais en gardant toujours assez de sagesse pour vérifier si toutes ces choses, tous ces objets de désir vers lesquels les hommes tendent tous leurs efforts, pour vérifier s’ils tiennent leurs promesses. Il a réussi à garder cette honnêteté fondamentale, que les hommes perdent le plus souvent dans leurs recherches du bonheur, pour ne pas avoir à s’avouer qu’ils se sont égarés finalement. Car tous ces plaisirs se sont finalement transformés en autant de peines. La peine, c’est ce qui reste quand le plaisir est passé, car le plaisir ne dure qu’un instant. Vanité, tout est vanité…
Vanité, fumée, futilité, différentes manières de traduire le mot hébreu hével (qui a donné Abel). Dans Esaïe, ce mot hébreu désigne tout effort infructueux, les illusions, les idoles, la mort ; dans Jérémie, ce mot est presque toujours associé aux idoles, aux pratiques idolâtres, tout ce qui est voué au néant. Il y a là l’idée d’inconsistance, de mensonge, d’inutilité, d’apparences trompeuses. Dans le livre de Job, ce mot évoque essentiellement ce qui est illusoire parce qu’éphémère, trompeur et sans résultat, tout ce qui s’efface comme une buée qui monte du sol le matin et qui disparaît dans le soleil. On recouvre le réel d’illusions. Puis on se présente de telle façon que l’on puisse faire illusion aux autres, ou que l’on puisse soi-même se prendre au sérieux. Qohélet arrache les masques. Enfin, la vanité, c’est ce qui est sans avenir, sans issue, surtout quant à la possibilité de se poser la question du Sens de l’existence. Voilà pour le premier thème qui émerge de cette œuvre de l’Ecclésiaste.
Le deuxième thème fort de ce livre biblique, c’est l’œuvre qui se fait sous le soleil, qui est qualifiée par le sage tantôt de mauvaise, tantôt de bonne pour l’homme, notamment à travers les grandes œuvres réalisées : les constructions, plantations, acquisitions de biens, d’animaux, de personnels, de plaisirs, etc.
Le troisième thème est le profit de l’investissement, de l’effort, qui n’est pas au rendez-vous, même si le sage entrevoit quand même un petit avantage de la sagesse sur la folie.
Le quatrième thème est la peine déployée par le sage, cette peine est la cause de nombreuses souffrances ; elle est même source d’injustice pour le sage qui s’est donné tant de peine dans la vie.
Pas bien drôle, me direz-vous, ce Qohélet… Cependant, il faut situer ce verdict dans son contexte. Certes, il opère une critique radicale de tout ce qui vit sous le soleil, y compris de la sagesse elle-même. Mais en réalité, il ne dénonce pas les œuvres humaines, le plaisir, les constructions, les richesses, le vin et l’amour. Ce n’est pas cela en tant que tel qu’il dénonce, ce ne sont pas ces réalités en tant que telles qui sont fautives. Ce qu’il dénonce, c’est que l’être humain pense trouver, dans ces œuvres humaines, de quoi résoudre le mystère de son existence.
En fait, c’est la relation de l’être humain à ces réalités-là qui est faussée. C’est la place que l’homme leur donne, c’est le culte qu’il voue aux activités de ses mains qui sont aberrants et qui sont ici soumis à une critique impitoyable.
Et finalement, par un drôle de retournement, il finit par constater que toutes les occasions de réjouissances sont bonnes à prendre, à commencer par les plaisirs simples partagés autour d’une bonne table, ou l’amitié échangée, ou la compagnie de la femme, de l’homme aimés… C’est comme si tout ce qu’il avait vigoureusement critiqué comme n’étant que vanité, peine et tristesse, était aussi ce qui est capable de rendre l’homme heureux.
Car il a ajouté un mot, un petit mot qui change tout : « c’est un don de Dieu ». Oui, cela est un don de Dieu. C’est là que le sage découvre le vrai bonheur, la vraie sagesse, le but ultime de sa quête, ce qui peut réjouir profondément son cœur et lui révélé la beauté de son existence : cela est un don de Dieu.
Mange, bois, réjouis-toi, goûte la vie avec la femme que tu aimes !… cependant, ce n’est plus vécu pour fuir dans l’oubli ou dans le plaisir… il s’agit pour lui de retrouver certains plaisirs tout simples. Au jour du bonheur, ne te laisse pas ronger par tout ce qui pourrait survenir, ne te laisse pas abattre par l’inquiétude. Certes, ces plaisirs ne peuvent pas devenir le but de la vie, car aussitôt il rappelle que tout cela dure « pendant tous les jours de ta vanité ». Ces plaisirs, il ne s’agit pas de s’en priver ; il s’agit seulement de remettre chaque chose à sa place, à sa juste place.
Ces plaisirs, ces joies, font partie des jours de vanité, de ce qui passera, cependant, ils sont un don de Dieu, tout comme la Sagesse, la Science et la Joie. La voilà, la bonne nouvelle ! Voilà ce qui permet le retournement ! Il n’y a rien de mieux pour l’homme que de manger et de boire et de faire gouter à son âme le bonheur de son travail ; j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. Oui, Va, mange avec joie ton pain et bois de bon cœur ton vin, car déjà Dieu a agréé tes œuvres.
Oui, tu peux te réjouir. Non pas des choses qui passent. Tu peux te réjouir parce que Dieu donne. Ce qui permet le bonheur, c’est le don de Dieu ; pour le Sage, il y a une relation intrinsèque entre le bonheur et le don de Dieu. Tes œuvres sont agréées. On ne sait pas lesquelles, peu importe ! Marque ta joie, signifie ta joie en portant des vêtements blancs, parce que Dieu agrée ta vie, parce que Dieu t’agrée tel que tu es, c’est tout ! Sache que Dieu agrée ta vie et ce que tu es, et à partir de là, le cœur en paix, sois heureux des choses de ce monde qui, par elles-mêmes, ne sont que vanité, certes, mais te rappellent que tu es agréé de Dieu.
C’est un peu comme dans la parabole du royaume où Jésus montre que Dieu invite d’abord, que Dieu offre son repas, et les invités sont appelés à manifester leur joie et leur reconnaissance par le fameux vêtement de noce, le vêtement blanc. Celui qui ne l’a pas revêtu est alors jeté dehors. Cela signifie que celui qui ne reconnaît pas que tous ces éléments matériels et éphémères viennent de Dieu ne pourront y trouver leur bonheur… ils s’y noieront, ils s’y perdront…
La re-connaissance, re-connaître parle de l’intuition de l’Eternité que Dieu a mises en nos cœurs. Re-connaître, c’est comme si nous connaissions déjà par intuition, cette intuition qui nous met en quête de Dieu, cette intuition qui nous fait entendre son appel à le chercher, à le désirer en désirant le bonheur… et quand nous découvrons qu’il est là, tous les jours de nos vies, dans des plaisirs si simples, un bon repas, une belle amitié, un amour partagé… tous ces ordinaires se trouvent comme magnifiés parce que habités par la présence du Grand Vivant, dont nous savons qu’il nous agrée !
Puissions-nous, en ce temps estival, ce temps de vacances, de rencontres amicales et familiales, de rencontres en Eglise, voir plus haut et plus profond, puissions-nous ne pas « aplatir » ces moments de réjouissances, puissions-nous ne pas les gâcher pour des broutilles, mais au contraire, nous en réjouir pleinement, et surtout, nous réjouir par-dessus tout de tous ces dons de Dieu, ce Dieu qui nous agrée tels que nous sommes. Amen.
Musique
Ct 420, st 1 et 3
Confession de foi n°12, p. 43
Spontané
Offrande
Annonces
Le Vendredi 1er, rencontre avec l’ERF de Barcelone. Préparation de gâteaux pour les recevoir– voir avec Esther
Ct 218
Prière d’intercession
… (Michèle)
Envoi et bénédiction
Jean Chrysostome a dit : Quand tu t’assieds pour lire les paroles de Dieu, demande-lui d’abord d’ouvrir les yeux de ton cœur, afin de ne pas seulement lire les Ecritures, mais aussi de les accomplir.
Nous nous sommes assis, nous avons prié pour que Dieu éclaire notre compréhension, nous avons médité les Ecritures. Il nous reste encore un bout de chemin à parcourir : vivre ce que nous avons compris de la Bonne nouvelle. Dieu ouvre les yeux de notre cœur, il nous donne d’accomplir les Ecritures.
(bénédiction)
Que sa lumière soit le phare de notre chemin !
Que sa parole soit le sel de notre semaine !
Que sa grâce soit l’espérance de nos lendemains !
Que son Esprit nous inonde comme l’eau des fontaines ! Amen.
spontané