Culte du 3 septembre 2023

Culte du 3 septembre 2023

Culte du 3 septembre 2023 à Sète

Musique

ACCUEIL

Jésus dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie.  Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Car le Père et moi sommes un.

Seigneur Dieu, les Ecritures disent de toi ce que notre raison ne peut comprendre. Nous te rendons grâce, Seigneur, car tu ne te limites pas à nos représentations. Tu nous offres de te voir à l’œuvre en Jésus-Christ. En lui, tu es ce Père plein de compassion, d’amour et de tendresse, qui nous conduit, nous bénit, et nous accompagne par-delà le bonheur et le malheur. Amen.

spontané

LOUANGE

Seigneur, j’aime saluer le soleil au matin, les premiers rayons qui me réchauffent ; mais j’aime encore plus savoir que ta lumière brille en moi dans les jours obscurs.

Seigneur, j’aime l’éclat de la création, les arbres au feuillage épais et l’énergie contenue dans les vagues, mais j’aime encore plus nourrir ma foi de relations sincères et fraternelles.

J’aime l’ombre bienfaisante quand la chaleur du jour m’écrase ; mais j’aime encore plus trouver en toi mon abri, comme une main prête à m’aider à porter mes fardeaux.

J’aime entendre le chant léger et insistant du peuple des oiseaux qui égaie le jour ; mais j’aime plus encore percevoir ta parole par les Ecritures ouvertes, par l’inattendu d’une rencontre et l’accueil du silence.

Infiniment, mon Dieu, tu es béni d’être entré dans ma vie. Amen.

Ct 153 

Notre vie devant Dieu

Seigneur, je ne comprends pas toujours qui tu es, mais toi, tu me donnes à regarder Jésus dans les Ecritures. Je ne vois pas toujours ta clarté… et pourtant, en Jésus, je crois que tu es ma lumière. Je suis souvent troublé… mais en Jésus, je découvre que tu es ma paix. Et même quand je suis triste, Seigneur, je me souviens de toi et tout à coup, tu es ma joie. Et même si je ne sais pas toujours où m’accrocher, en Jésus, je sais que tu es ma force, mon rocher. Et même s’il m’est parfois difficile de t’aimer dans mon prochain, Toi, tu es l’amour manifesté en Jésus. Prends-moi avec toi sur le chemin. Amen.

spontané

Parole de résurrection de la part de Dieu

« Dieu a envoyé son Fils unique pour que nous ayons la vie en lui ». Le Dieu de Jésus-Christ nous accueille maintenant tels que nous sommes. Il nous réconcilie avec lui-même, avec nos frères et nos soeurs, avec notre propre personne. Il nous relève et il nous envoie pour que nous soyons des femmes et des hommes de foi et de liberté. Dieu nous pardonne. Il nous accompagne. Il nous sauve. Amen.

spontané

Prière d’illumination

Nous nous recueillons avant d’entendre les Ecritures

Ecoutez ! Oui, écoutez s’il vous plaît ! écoutez les graines qui tombent… tombent, tombent dans une bonne terre..  écoutez, les plantes qui poussent… poussent, poussent dans la bonne terre… Ecoutez ! Ecoutez encore pousser la Parole chez ceux qui l’ont entendue, et comprise, et qui donnent du fruit ! Ecoutez ! Ecoutez si vous avez des oreilles pour écouter, et pour entendre !

Parle, Seigneur, ton serviteur écoute. Amen.

Lectures bibliques

Dans le 1er livre de Samuel, au chapitre 14, les versets 24 à 46 

Ce jour-là, les Israélites avaient souffert, car Saül les avait placés sous la menace de cette malédiction : « Si quelqu’un prend de la nourriture avant le soir, avant que je me sois vengé de mes ennemis, qu’il soit maudit ! » 

Personne, donc, n’avait mangé quoi que ce soit.

Ils arrivèrent tous dans une forêt où il y avait du miel jusque par terre.  En pénétrant dans la forêt, les soldats virent ce miel qui s’écoulait ; toutefois, aucun d’eux n’en prit pour en manger, car tous avaient peur de la malédiction.

Mais Jonatan ignorait que son père avait imposé un serment à tout le monde. Il étendit le bâton qu’il tenait, en trempa l’extrémité dans un rayon de miel, et le ramena à sa bouche. Alors son visage s’éclaira.

Un des soldats lui dit : « Ton père nous a imposé un serment, avec cette menace : “Si quelqu’un prend de la nourriture aujourd’hui, qu’il soit maudit !” C’est pourquoi tout le monde est épuisé. »

Jonatan déclara : « Mon père a fait le malheur du pays ! Regarde donc comme j’ai repris des forces depuis que j’ai mangé un peu de ce miel. Si tous les soldats avaient pu, aujourd’hui, se nourrir grâce au butin pris à leurs ennemis, la défaite des Philistins en serait maintenant beaucoup plus grande. »

Ce jour-là, les Israélites battirent et poursuivirent les Philistins de Mikmas jusqu’à Ayalon. Ils en furent si épuisés qu’ils se précipitèrent sur le butin, prirent des moutons, des bœufs et des veaux, les égorgèrent sur place et les mangèrent à l’endroit même où le sang avait coulé.  On avertit Saül que le peuple commettait une faute à l’égard du Seigneur en mangeant les bêtes là où on les avait saignées. Saül s’écria : « Vous avez trahi le Seigneur ! Roulez immédiatement une grosse pierre jusqu’ici. Ensuite, passez parmi les gens et dites-leur de venir à moi, chacun avec son bœuf ou son mouton. C’est ici qu’ils égorgeront leurs bêtes, puis ils pourront les manger ; de cette façon, ils ne commettront pas de faute à l’égard du Seigneur en les mangeant là où elles ont été saignées. » Ce soir-là, chacun amena donc sa bête et l’égorgea à cet endroit.  C’est ainsi que Saül construisit un autel pour le Seigneur. Ce fut le premier autel qu’il lui construisit.

Puis Saül donna l’ordre suivant : « Descendons pendant la nuit à la poursuite des Philistins, pillons-les jusqu’à ce que le jour se lève, et ne leur laissons aucun survivant. » 

– « Fais tout ce que tu juges bon », répondirent ses soldats. Mais le prêtre proposa : « Consultons d’abord Dieu. »  Saül demanda donc à Dieu : « Dois-je descendre à la poursuite des Philistins ? Les livreras-tu en notre pouvoir ? » Mais Dieu ne lui donna pas de réponse ce jour-là.

Alors Saül convoqua tous les chefs du peuple auprès de lui et leur dit : « Examinez attentivement quel péché a été commis aujourd’hui.  Aussi vrai que le Seigneur est vivant, le Sauveur d’Israël, je l’affirme : le fautif mourra, même s’il s’agit de mon fils Jonatan ! » Dans toute la troupe, personne ne répondit.  Saül reprit : « Vous, tous les Israélites, mettez-vous d’un côté, tandis que mon fils Jonatan et moi-même nous tiendrons de l’autre côté. » – « Fais comme tu l’entends », lui répondirent les soldats.

Saül pria le Seigneur : « Dieu d’Israël, pourquoi ne m’as-tu pas donné de réponse aujourd’hui ? Seigneur, réponds-moi par les sorts sacrés : si la faute vient de Jonatan ou de moi-même, réponds par l’Ourim ; si la faute vient de l’armée, réponds par le Toummim. » Jonatan et Saül furent désignés, et l’armée fut mise hors de cause.

Saül ordonna : « Tirez au sort entre Jonatan et moi ! » Jonatan fut désigné. Alors Saül lui dit : « Révèle-moi ce que tu as fait. » Jonatan répondit : « Avec l’extrémité de mon bâton, j’ai pris un peu de miel et je l’ai mangé. Voilà, je suis prêt à mourir. » –

 « Que Dieu m’inflige la plus terrible des punitions si tu ne meurs pas, Jonatan ! » s’écria Saül.  Mais les soldats dirent à Saül : « Jonatan devrait-il mourir, lui qui a procuré cette grande victoire à Israël ? C’est inconcevable ! Aussi vrai que le Seigneur est vivant, nous ne permettrons pas qu’un seul cheveu tombe de sa tête, car c’est avec l’aide de Dieu qu’il a agi en ce jour ! » Ainsi l’armée obtint que Jonatan échappe à la peine de mort.  Saül cessa de poursuivre les Philistins, et ceux-ci retournèrent chez eux.

Dans l’Evangile selon Jean, au chapitre 14, les versets 1 à 7 :

Que votre cœur ne se trouble pas. Mettez votre foi en Dieu, mettez aussi votre foi en moi.  Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Sinon, vous aurais-je dit que je vais vous préparer une place ?  Si donc je m’en vais vous préparer une place, je reviens vous prendre auprès de moi, pour que là où, moi, je suis, vous soyez, vous aussi.  Et là où, moi, je vais, vous en savez le chemin. Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons pas où tu vas ; comment en saurions-nous le chemin ?  Jésus lui dit : C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père sinon par moi.  Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Et, dès maintenant, vous le connaissez et vous l’avez vu.

Ct 429

Prédication 

Le point de départ de notre compréhension protestante des Ecritures, c’est que la foi, c’est une rencontre. Confiance, cela vient de « fiance », se fiancer. Il s’agit donc bien d’une rencontre. Rencontre avec qui ? Rencontre avec Dieu. D’accord. Mais qui est ce Dieu que l’on rencontre dans la foi ? qui met-on derrière ce nom « Dieu » ?

On peut considérer cette question comme stupide, car finalement, il semble que tout le monde sache qui est Dieu, même ceux qui ne croient pas en lui. Eh bien, je n’en suis pas si sûre. En effet, derrière ce mot Dieu qui est commun à toutes les Eglises chrétiennes, mais aussi aux juifs, aux musulmans et à d’autres religions, mettons-nous réellement la même chose ? Et même à l’intérieur du monde chrétien, et même au sein du protestantisme, sommes-nous sûrs de dire la même chose quand nous prononçons ce mot Dieu ?

En effet, nous avons une tendance naturelle à nous fabriquer un dieu à l’image de nos peurs, pour qu’il nous en délivre, de ces peurs ; nous avons tendance à nous fabriquer un dieu à l’image de notre désir de puissance, pour qu’il nous la donne justement cette puissance ; nous avons tendance à nous fabriquer un dieu à l’image de nos désirs les plus cachés et les plus fous pour qu’il les satisfasse.

Regardez par exemple le roi Saül, dans le texte qui a été lu : il vient de vaincre les Philistins et il envisage de les poursuivre de nuit pour les exterminer. Mais d’abord, il veut consulter Dieu. Or celui-ci ne répond pas. Terrible silence de Dieu, que Saül ne semble pas comprendre. A tort ou à raison, Saül pense que le silence de Dieu signifie qu’il est fâché contre son peuple et qu’il faut, pour l’apaiser, lui offrir un sacrifice, et même un sacrifice humain : celui de son propre fils.

Mais en raisonnant ainsi, Saül n’est-il pas en train de se fabriquer un Dieu qui traduit ses propres peurs ? mais qui traduit peut-être aussi sa jalousie à l’égard de son fils Jonathan qui commence à lui faire concurrence en étant de plus en plus populaire auprès du peuple ?

Heureusement, le peuple est plus sage que son roi… et il interprète le même signe de manière complètement différente que l’a fait Saül, ce qui permet à Jonatan d’avoir la vie sauve.

Alors d’accord, c’est Saül, ce n’est pas nous. Pourtant, n’est-ce pas aussi ce que nous faisons quand il survient une catastrophe ? Quand le Covid est arrivé, ne s’est-on pas demandé si c’était une maladie envoyée par Dieu ? Je l’ai entendu, cela. Ou alors, quand on voit écrit sur la tombe de certains enfants « Dieu a donné, Dieu a repris », ne pense-t-on pas que c’est Dieu qui a voulu que cet enfant meurt ? ou alors quand  on dit : « C’est la volonté de Dieu, il faut se soumettre », est-ce que nous ne nous faisons pas une image d’un Dieu un peu sadique qui se nourrit des accidents, de la souffrance des innocents et des larmes des parents en deuil ?

Terrible question que se sont posée aussi les Juifs après l’expérience des camps de la mort : que faisait Dieu pendant qu’on les assassinait dans les chambres à gaz ? Où était-il donc ? Soit il sait tout, il voit tout, il est tout-puissant, mais alors comment a-t-il laissé massacrer son peuple élu ? Soit c’est qu’il n’existe pas.

Alors, la question demeure : qui est le Dieu qui vient à notre rencontre dans la foi ? Qui est le Dieu que nous montre Jésus-Christ ?

Est-il le Dieu capricieux qui s’amuse à envoyer aux humains la maladie et la guérison, la vie et la mort, le tremblement de terre et les secours ? (anecdote baptême Juliette)

Comment connaître ce que l’on appelle Dieu, sinon en nous approchant du Christ, le seul lieu, pour le chrétien, où Dieu se révèle ?

Et nous voici devant le texte de l’Evangile de Jean que nous avons lu tout à l’heure. Jésus, pendant les derniers jours de sa vie, prononce un long discours d’adieu et fait ses dernières recommandations à ses disciples. Ils ne comprennent pas tout et ils sont troublés. Alors Philippe ose enfin rompre le silence et interroger le maître : « Seigneur, montre-nous le Père et cela nous suffit ». Montre-nous qui est Dieu, montre-nous quel est ton Dieu. Et Jésus de répondre : « Philippe, tu m’as vu si longtemps et tu me demandes encore de te montrer le Père ! Le Père et moi sommes Un. Qui m’a vu a vu le Père ». Autrement dit : Là où je suis, Il est ; ce que je fais, Il le fait ; ce que je dis, c’est Lui qui le dit.

Extraordinaire tournant dans l’histoire des humains ! car jusque là, pour savoir qui était Dieu, il fallait lever la tête vers le ciel – et bien souvent, vers notre imaginaire ; maintenant, il suffit de rester sur terre et de regarder le Christ.

C’est alors s’effondrent toutes nos questions folles, toutes nos interrogations et toutes révoltes devant tout ce que nous ne comprenons pas et que nous attribuons à Dieu. En effet, regardons bien Jésus (x2) : Il guérit, mais, que je sache, il n’a jamais rendu personne malade, il n’a jamais jeté une maladie sur qui que ce soit. Jésus a ressuscité Lazare, mais, que je sache, il n’a jamais fait mourir personne, il n’a jamais donné la mort à un enfant ; Jésus a fait danser les boiteux mais, que je sache, il n’a jamais rendu personne paralytique. Il a ouvert les yeux des aveugles, permis aux sourds d’entendre, délié la langue des muets, mais que je sache, il n’a jamais enlevé la vue, l’ouïe ou la parole à quiconque. Jésus a nourri les foules, mais que je sache, il n’a jamais jeté la famine sur la terre. Il a donné sa vie par amour, mais que je sache, il n’a jamais tué personne.

Qui m’a vu a vu le Père. Puisque Jésus est celui qui nous montre le Père, regardons bien à Jésus. A la crèche, et à la croix. Le Père, c’est-à-dire le Dieu de Jésus-Christ, et non pas n’importe quel Dieu, est un Dieu qui n’envoie pas de maladie, qui ne fait mourir personne, ni les innocents ni les enfants non plus, qui ne rend personne paralytique, aveugle ou muet. Alors ne confondons pas le Dieu de nos peurs et de nos désirs avec le Dieu de Jésus-Christ, celui qu’il nomme Père.

Oui, si nous cherchons à connaître Dieu non pas dans nos peurs ou nos désirs cachés, mais si nous cherchons à connaître Dieu là où seulement Lui se révèle, c’est-à-dire en Jésus de Nazareth, nous trouvons un Père et non un tyran ; nous ne trouvons pas une instance despotique qui agit avec nous selon son bon plaisir ; nous ne trouvons pas un œil fixé en permanence sur nous pour mieux nous culpabiliser ; nous ne trouvons pas un apprenti sorcier qui joue avec les volcans ou les inondations pour persécuter ou punir les humains. Non. Nous voyons en Jésus-Christ un Père plein d’amour, de compassion et de tendresse. Voilà le Dieu qui vient à notre rencontre dans la foi, et c’est lui seul que nous adorons dans la rencontre qu’il nous offre encore ce matin dans cette célébration. Amen.

Musique

Ct 257 Jésus ton nom

Ste Cène

Préface

A l’heure où monte le prix de l’eau sur la terre ; où se réduit l’espace et grandit la misère ; où personne ne peut payer le prix du silence et de l’air ; à l’heure où la relation humaine est l’objet de calculs et de haine ; à l’heure ou meurt ce qui est gratuit, il est vraiment urgent de rappeler ta vie donnée, Seigneur, de proclamer la force de ta paix sans violence et le pouvoir de l’amour vécu jusqu’à la mort.

C’est pourquoi nous travaillons à soulager et à secourir, et nous chantons déjà, Seigneur, en attendant le monde où demain n’aura plus cette couleur de cendre, où l’avenir sera comme les yeux des enfants.

Spontané p.30

Suite Ste Cène

Offrande

Annonces  

Monique Mattal va s’installer à La Poésie – la laisser s’installer, très fatiguée. Elle sait que nous pensons à elle.

Hier, baptême de Juliette Chazel à Mèze – nous prions pour elle et sa famille.

Ct 507, st 1 et 2

Prière d’intercession 

Vers toi, Père, monte notre rêve d’un monde réconcilié, où les différences ne se transforment pas en exclusion, où les désaccords ne deviennent pas rupture, où les conflits ne dégénèrent pas en guerre.

C’est un rêve, nous te demandons la force de le réaliser un peu plus chaque jour.

Vers toi, Père, montre notre rêve d’une nouvelle économie plus humaine et plus juste, consciente des limites des ressources planétaires et respectueuse des générations à venir. Nous te demandons le courage et l’intelligence d’y travailler chaque jour.

Vers toi, Père, monte notre rêve d’église, tournée vers le Royaume de grâce et de justice, audacieuse dans ses actes et réaliste dans ses ambitions, à l’écoute de ton Esprit. Accorde ton Eglise à ta volonté, et que dans le souffle que tu enverras, nous fassions de ces rêves une réalité.

Nous te nommons dans le secret de nos cœurs celles et ceux que nous te confions particulièrement…

Et t’appelons, comme Jésus, Notre Père…

Envoi et bénédiction

« Veillez et priez en tout temps, afin que vous ayez la force… »

L’Evangile se présente à nous comme une urgence, et nous, nous avons trop souvent tendance à nous assoupir dans les habitudes de notre quotidien ; à devenir paresseux dans notre quête de la vérité ; à nous soumettre devant les fatalités de notre vie et de notre monde.

Mais aujourd’hui, nous avons fait halte pour trouver la force nécessaire pour nous tenir debout, adultes et responsables, devant Dieu et devant les humains, au nom de l’Evangile de Jésus-Christ.

Pour cela, le Dieu de Jésus-Christ, Père plein de compassion, d’amour et de tendresse, nous conduit, bénit, et nous accompagne.  Amen.

spontané

Contact