Culte du 1er octobre 2023 à Sète

Culte du 1er octobre 2023 à Sète

Culte du 1er octobre 2023 à Sète

Musique 

Annonce de la grâce et de la paix

Que l’amour et la paix de l’Eternel demeure en chacun, chacune de nous pour ce culte de vie et de louange. L’Amour du Christ nous donne sa paix, pour que nous la recevions dans notre profondeur, que nous en vivions et que nous la partagions autour de nous. Amen.

spontané

Louange et reconnaissance

Toi qui nous as aimés le premier, ô Dieu,
nous parlons de toi comme si tu ne nous avais aimés le premier
qu’une seule fois, dans le passé.

En réalité, c’est tout au long des jours et tout au long de la vie,
que tu nous aimes le premier.

Quand nous nous éveillons le matin et que nous tournons notre intériorité vers toi, tu nous devances, tu nous as aimés le premier.

Et quand, dans la journée, nous nous écartons des distractions, de tout ce qui nous éloigne de toi, et que nous nous recueillons pour penser à toi, tu es encore le premier.

Tu es béni, Seigneur, pour ton amour qui est toujours premier, et qui s’offre toujours à qui veut bien l’accueillir. Amen.

Ps 36, st 1 et 2 O Seigneur ta fidélité

Notre vie devant Dieu

Eternel, nous voulons nous tourner vers toi avec nos difficultés. Nos difficultés de vie, nos difficultés à dire oui, nos difficultés à dire non, nos difficultés à pardonner, nos difficultés à traverser les épreuves, nos difficultés à vivre le service et nos difficultés à donner aux plus nécessiteux … nous osons regarder en vérité tout cela maintenant et nous te le disons dans le silence de nos cœurs (silence) Amen

spontané

Parole de résurrection de la part de Dieu

Ecoutons les paroles de grâce et la déclaration du pardon de Dieu. « Si donc le Fils de l’homme vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jn 8,36). Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre selon les désirs de votre vieil homme. Dieu nous aime, il nous a donné son Fils unique, Jésus-Christ. C’est lui qui pardonne toutes nos iniquités, qui guérit toutes nos maladies » (Ps 103,3). Soyez donc assurés de l’amour que Dieu renouvelle à votre égard et du pardon qui vous est accordé lorsque vous revenez sincèrement à lui. Amen.

spontané

Prière d’illumination

Je vous invite à la prière

Esprit de Vie, Esprit de Vérité, viens ! dans notre obscurité, dans notre cœur en recherche, dans nos pensées et nos doutes, nos convictions et nos certitudes… viens !

A travers les oreilles verrouillées et les cœurs fermés, à travers l’étroit passage dans nos pensées tourbillonnantes, viens semer ta parole en nous !

Apprends-nous à prêter l’oreille à ta voix ; à être attentifs à ta Parole ; et constructifs de ta volonté vivifiante pour nos existences et celle de la société dans laquelle nous vivons ! Amen.

Lectures bibliques

Nous lisons dans l’évangile selon Matthieu, au chapitre 21, les versets 28 à 32 (Joëlle) :

Qu’en pensez-vous ? Un homme avait deux fils ; il s’adressa au premier et dit : Mon enfant, va travailler dans la vigne aujourd’hui. Celui-ci répondit : « Je ne veux pas. » Plus tard, il fut pris de remords, et il y alla. L’homme s’adressa alors au second et lui dit la même chose. Celui-ci répondit : « Bien sûr, maître. » Mais il n’y alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? Ils répondirent : Le premier. Jésus leur dit : Amen, je vous le dis, les collecteurs des taxes et les prostituées vous devancent dans le royaume de Dieu. Car Jean est venu à vous par la voie de la justice, et vous ne l’avez pas cru. Ce sont les collecteurs des taxes et les prostituées qui l’ont cru, et vous qui avez vu cela, vous n’avez pas eu de remords par la suite : vous ne l’avez pas cru davantage.

Nous lisons dans la lettre de Paul aux Philippiens, au chapitre 2, les versets 5 à 11 (AM) :

Ayez entre vous les dispositions qui sont en Jésus-Christ :

Lui qui, lorsqu’il commença, était en forme de Dieu, n’a pas considéré comme une proie à saisir

D’être comme Dieu.

Mais il s’est évidé, prenant la forme d’esclave, devenant semblable aux hommes, et reconnu à son aspect comme un homme

Il s’est abaissé,

Devenant écoutant jusqu’à la mort, à la mort sur une croix.

C’est pourquoi Dieu l’a sur-élevé,

Et lui a fait grâce du Nom, qui est au-dessus de tout nom,

Pour qu’au Nom de Jésus, tout genou fléchisse,

Dans les cieux, sur la terre et sous la terre

Et que toute langue confesse

Jésus-Christ Seigneur

A la gloire de Dieu le Père.

Ct 34-31, st 1 et 3 Jesus entre dans son règne 

Prédication

C’est toujours un cadeau pour moi que d’entendre ce passage de la lettre de Paul aux Philippiens. Les lectures bibliques du jour nous l’offrent à nouveau. Un cadeau, un éclat, un émerveillement, et de la dynamite. Cet hymne aux Philippiens a d’ailleurs suscité une masse considérable d’études. Elle condense l’essentiel de la proclamation des toutes premières communautés chrétiennes, une des manières dont ces premières communautés confessaient leur foi.

Paul s’adresse aux Philippiens, les habitants de Philippes, ville située entre l’Asie mineure et Rome, et le thème se sa lettre vise la poursuite de l’œuvre de Dieu dans cette communauté jusqu’au jour du Christ. On peut penser qu’il l’a écrite entre les années 50 et 60, alors qu’il était en prison, pour demander aux Philippiens, d’une part, de tenir bon dans leur foi dans l’Evangile, et d’autre part, il leur demande de le combler de joie en vivant sous la seigneurie du Crucifié-Ressuscité, en raison de l’œuvre que Dieu a déjà accomplie en eux, et pour assumer leur responsabilité dans le monde.

Et tout à coup, au cœur de sa lettre, l’apôtre passe au langage poétique avec cette hymne. Pourquoi donc ? Peut-être parce que cette forme de langage permet davantage de parler de quelque chose que l’on n’arrive pas à dire dans le langage courant ; quelque chose que l’on ne peut ni dire ni représenter, et que pourtant, l’on ne peut pas garder pour soi. C’est l’impossible à dire que Paul essaie de dire quand même avec cette hymne, pour exhorter sa communauté, pour l’encourager, pour la consoler. Ici, Paul ne cherche pas à stimuler le volontarisme ou le moralisme parmi les Philippiens ; mais il bascule dans un langage qui peut venir faire brèche en eux, et les ouvrir à un saisissement.

Lui, Jésus, « lorsqu’il commença, était en forme de Dieu, et il n’a pas considéré comme une proie à saisir d’être comme Dieu ». ; Jésus est le premier d’une lignée à venir ; sa venue est un acte qui est arrivé à un instant « t » dans l’histoire, la grande histoire générale, et qui peut aussi s’inscrire dans chaque histoire individuelle, personnelle. De la même manière que, au commencement, Dieu créa la terre et les cieux, Jésus, par son incarnation, commence à créer une nouvelle lignée d’êtres humains, une nouvelle façon de se comprendre et de comprendre le monde par la confiance en lui. Jésus est en quelque sorte le premier pleinement Humain, à l’écoute constante et confiante de Dieu, le premier à ne jamais laisser se briser le lien qui l’unit à Dieu, même dans l’extrême du doute. Il est le premier d’une nouvelle lignée d’humains, appelés à vivre à sa suite.

La question de la « forme de Dieu », ou de la condition divine de Jésus, a fait couler beaucoup d’encre. Je vous propose de retenir une chose : c’est que Jésus a choisi de montre ce qu’est Dieu, ce qu’est le Dieu dans lequel lui, croit, en prenant la forme d’un serviteur ; Jésus nous montre Dieu en se faisant serviteur de l’humanité défigurée. Le Dieu de JC, est donc serviteur de l’humanité défigurée.

 Karl Barth oppose l’attitude du Christ avec celle des Philippiens qui veulent chacun « paraître, avec son droit particulier, avec son bien, sa valeur propre » ; ces Philippiens qui cherchent leur bien par « vaine gloire », « gloire vide », « gloire imaginaire », « gloire de pacotille » – la gloire de l’ego, dirait-on aujourd’hui ; c’est de cette gloire de pacotille que Christ s’évide, c à d qu’il ne la laisse pas régner en lui. Il refuse de laisser régner en lui l’égocentrisme et la recherche de la gloriole, de l’ambition personnelle.

Il aurait pu chercher à abuser du pouvoir que lui procurait son intimité unique avec Dieu ; or il y a renoncé ; au lieu de s’enfler, il a choisi de s’évider, et ce, totalement librement – librement. Cette kénose, cet évidement, est à comprendre comme un mouvement ; un mouvement d’abaissement vers la condition de serviteur ; non pas au service de soi-même ou de sa propre gloire, mais au service du Grand Vivant, qui nous appelle là où nous l’imaginons rarement, là où nous n’aurions pas forcément envie de dire « oui ». Puissions-nous nous en souvenir quand nous avons des décisions à prendre.

Quelqu’un écrit que Christ montre sa divinité en ne voulant que notre humanité. Il a renoncé à tout de que l’on appelait la divinité pour ne garder que l’essentiel : l’Amour. Ainsi, plus le Christ se dépouille de sa condition divine, plus il devient pleinement humain, plus il nous aime, et du coup, plus il accède à la totale divinité : l’Amour. C’est en renonçant à sa divinité, en renonçant à la toute-puissance volontariste et conquérante, que le Christ devient parfaitement divinité. Au fond, Jésus-Christ devient parfaitement Dieu au moment où il devient parfaitement humain ».

Au fond, Jésus renonce à ce que l’être humain convoite : être comme un dieu. Vous vous souvenez, au chap 3 de la Genèse, quand l’homme et la femme (qui représentent l’humanité globale) prennent le fruit défendu, celui qui paraît bon, beau et désirable pour la connaissance ? Christ, lui, au contraire, prend la condition d’esclave, qui était alors honteuse, répugnante, détestée. Il renonce à ce que l’être humain convoite (être comme dieu, donc éternel et tout-puissant) et il prend ce qui dégoûte l’être humain (la condition d’homme, c’est-à-dire la condition humaine limitée et aliénée, et qui plus est, d’homme au service des autres).

Il s’est abaissé lui-même, devenant écoutant jusqu’à la mort, et la mort sur une croix.

Cette obéissance, cette écoute obéissante, est qualifiée par Kierkegaard de « différence qualitative infinie » entre le Christ et tous les êtres humains.

Le verbe utilisé dans l’hymne, qui est traduit le plus souvent par « obéissant » pour dire l’attitude du Christ, signifie en fait « écoutant » au sens de l’hébreu.

L’écoute, dans la tradition de l’AT, c’est bien plus que d’entendre seulement des mots. Ecouter, c’est écouter quelqu’un. Ecouter, c’est entrer dans une dimension relationnelle, dans laquelle il y a de l’autre, du différent … Ecouter, cela signifie prêter son oreille, se mettre à l’écoute de quelqu’un en qui l’on a confiance ; c’est alors obéir, être docile à la parole entendue, parce que confiant dans la personne qui émet ce message. Cette écoute active produit des effets. Cette écoute nous amène à nous « retourner », à modifier concrètement nos comportements.

Inversement, ne pas écouter signifie se rebeller, s’opposer. Il s’agit de la nuque raide qui ferme l’oreille à la parole de Dieu, parce que cette parole le remet trop en question.

Ecoute, Israël. Shma, Israël. Ecoute, c’est le premier mot du premier commandement divin. Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est le Seigneur Un. Tu aimeras l’Eternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. La piété juive s’est fixée autour du « Ecoute Israël » qui retrace, avant tout contenu, avant de savoir ce qui est à écouter, la condition fondamentale de l’alliance. C’est l’alliance qui constitue le peuple de Dieu, et la condition de cette alliance, c’est d’écouter Dieu de cette écoute obéissante qu’est la foi. En effet, écouter ne consiste pas d’abord à écouter quelque chose qui nous est dit, mais écouter quelqu’un qui nous parle. C’est pourquoi « Ecoute » est le premier commandement, car c’est celui qui rend les autres commandements possibles. La parole manifeste alors une présence, elle met en relation quelqu’un avec quelqu’un d’autre. Il s’agit d’une parole qui dit : « Ecoute, c’est moi qui te parle ».

La foi, n’est-ce pas l’écoute ? La foi, en effet, n’est pas une action de l’homme ; elle est bien plus communion à un autre. Cette communion échappe à l’homme, bien que lui seul puisse y acquiescer. C’est cette écoute, cette confiance, qui a rendu capable Jésus d’une telle obéissance et lui a permis de dépasser toutes les tentations, notamment celle de Gethsémané.

Cette écoute ne concerne pas que les mots ; elle est perception, intuition, discernement, détection d’une présence, d’un possible, elle est acquiescement au don de soi, non pour la mort, mais pour la vie.

Il est des obéissances et des soumissions qui sont pour la mort, des résignations qui enferment comme des eaux marécageuses ; il est des façons de se soumettre qui sont mues par la peur, par la lâcheté, par le besoin d’être aimé, par le besoin d’être reconnu, par la culpabilité, par les faux amours. Dans l’obéissance ou la soumission, il est fondamental de chercher à voir clair. Qui est-ce que j’écoute ? Est-ce vraiment la voix de Dieu, celle qui me dit : « Choisis la vie, choisis la confiance » ? Il est primordial de percevoir qui me parle vraiment ? Est-ce vraiment celui qui se révèle Parole de Dieu, ou est-ce le serpent des origines ? Mon oui est-il oui à la vie ? Ou est-il oui à la répétition stérile ? Est-il oui à l’idôlatrie de moi-même ?

Nous disons tant de « oui » qui devraient plutôt être des « non » ; notamment dans nos relations affectives, les relations avec nos proches, enfants, parents, conjoints, petits-enfants… nous osons si peu dire « non »… tellement de peurs et d’enjeux résident là… 

Quand je dis « oui », est-ce vraiment à la volonté de Dieu que j’obéis ? Quand je dis « oui » à l’autre, est-ce que je lui permets de grandir, de mûrir, de devenir libre de moi ? A qui est-ce que je dis « oui » ? A qui est-ce que je dis « non » ? Je dis parfois beaucoup de « oui » qui ne laissent plus d’espace pour le « oui » au Dieu vivant. Dire oui au seigneur, c’est forcément dire non à tout ce qui revendique une quelconque domination sur nos existences.

Mais nous disons aussi beaucoup de « non » parce que nous avons tellement peur de vivre, tellement peur de faire face au Réel, tellement peur de la confrontation, de l’altérité, tellement peur de nous engager, tellement peur de perdre…

Jésus le Christ a choisi la Vie – pour autant, cela ne l’a pas empêché d’être écoutant jusqu’à la mort, et la mort sur la croix. Et mourir sur une croix, c’était mourir deux fois, c’était la mort éternelle, la mort accouplée au désespoir absolu. 

C’est pourquoi Dieu l’a sur-élevé… et lui a fait grâce du Nom qui est au-dessus de tout nom. 

Cette traduction peut laisser croire que Jésus, par son attitude humble et obéissante, a mérité la faveur de Dieu, comme si Dieu attendait que l’on meurt à ses pieds pour nous agréer et nous récompenser. Cette compréhension est grave, mensongère, et dangereuse.

« C’est pourquoi Dieu l’a sur-élevé », ce petit bout de phrase, nous devons le lire avec ce qui suit immédiatement : pour qu’au Nom de Jésus, tout genou fléchisse, et toute langue confesse… Jésus-Christ Seigneur. Dieu l’a sur-élevé non pas pour le récompenser d’avoir accepté la croix ; Dieu l’a sur-élevé pour le salut des hommes, c à d en vue de la libération de tout être humain qui mettra sa confiance en lui, en son chemin de vie, en ses choix d’existence. Tout ceci est pour que les humains puissent délaisser ce qui les aliène et être libérés de toute peurs destructrices. Tout ceci est en vue de l’Amour, car l’Amour parfait chasse la peur, et notamment la peur de l’autre, de tous les autres, les différents.

Oui, Dieu l’a sur-élevé ; ici, il n’est pas question du mot « résurrection », ni même d’un récit de résurrection ; ici, Dieu donne à Jésus le Nom qui est au-delà de tout nom ; nommer, c’est appeler à l’existence, c’est faire sortir du néant ; cela désigne l’être profond, la vraie nature de quelqu’un. Donc bien que l’on n’entende pas parler de « résurrection » ici, il s’agit bien de confesser Jésus Vivant, dans la puissance même de l’Eternel.

Et ceci, pour que tout genou fléchisse, pour que toute nuque raide s’assouplisse, et que toute langue confesse… 

Confesser Christ, c’est reconnaître qu’il est possible, par le saisissement de la foi, non pas d’imiter Jésus, mais de prendre part, dans nos vies quotidiennes, parfois, comme par inadvertance, à son existence qui montre ce qu’est Dieu : serviteur du Vivant ; et ainsi, petit à petit, devenir une créature nouvelle, dans une dynamique toujours à recevoir à nouveau : mort de l’ancien, naissance du nouveau.

Et tout ceci, à la gloire de Dieu le Père… tout part de Dieu et tout revient à Dieu, mais entre-temps, par le chemin d’écoute aimante de Jésus-Christ, Dieu n’est plus seulement un concept dont on a entendu parler, mais il se révèle comme un père aimant dont la puissance d’amour dépasse tout ce que l’on peut imaginer, sans jamais, pour autant, nous retirer de la condition humaine. Amen.

Musique

Ct 55-02 Ecoute Israël

Sainte Cène

Ct A toi la gloire

Offrande et Annonces

Prière d’intercession (Maria)

Je vous invite à la prière les uns pour les autres

Eternel, tu nous appelles à t’écouter.

Nous osons croire que toi aussi, tu nous entends.

Pour tous les hommes et les femmes, afin qu’au sein de la société humaine, ta grâce les engage en nouveauté de vie, nous te prions.

Pour les responsables ecclésiaux, les pasteurs, les engagés et toute ton Eglise, visible et invisible ; afin que l’Evangile soit fidèlement transmis et reçu ;

Pour les responsables de la vie économique et sociale, afin qu’ils exercent leur fonction dans un esprit de sagesse, de justice et de service ;

pour les écrivains, les journalistes, les artistes, pour tous ceux qui influencent les esprits, afin qu’ils les orientent vers ce qui ressort de ta volonté ;

pour ceux qui doivent gagner leur vie hors de leur pays, pour ceux qui n’ont pas de travail ou pas de logement, et pour tous les défavorisés ;

pour nous-mêmes, notre ministère, nos proches et nos moins proches,

nous te prions Seigneur (silence).

Et avec Jésus qui sans cesse prie pour nous, nous te disons.. 

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour, pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du mal. Amen.

Envoi 

Jésus, lui qui était en forme de Dieu, n’a pas considéré comme un bien à saisir que d’être comme Dieu. Il nous envoie, non pour l’imiter, mais pour l’écouter et laisser agir sa Parole au plus intime de nous-mêmes, là où, en nous, se prennent les véritables décisions. Que Sa Parole vienne faire événement en nous !

Bénédiction

Le Seigneur nous donne sa force, sa paix, sa douceur et son audace !

Va, avec cette force que tu as, et moi, je serai avec toi ! Amen.

spontané

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