Culte de Pentecôte à Sète – 19 mai 2024

Culte de Pentecôte à Sète – 19 mai 2024 – baptêmes
Bienvenue…
Culte de pentecôte, baptêmes d’Eve et Lenny, préparés avec Claude, diacre dans notre Eglise de Sète.
Musique
Accueil (AM)
Il est une caractéristique de Dieu que l’on oublie souvent. C’est qu’il est un Dieu têtu ! Il est même le
premier et le plus grand de tous les têtus. Car Dieu ne renonce jamais à sa décision de sauver les humains, de
les libérer de ce qui est mortifère pour eux, de ce qui les tire vers le bas, de ce qui les aliène.
Il vient toujours de nouveau au-devant des humains pour leur dire sans se lasser : « La grâce et la paix vous
sont données ! De la part de Dieu, votre Père, de Jésus-Christ, votre Sauveur, de l’Esprit Saint, votre
Consolateur. »
Oui, chacun, chacune, nous sommes au bénéfice de cette folie accueillante et enveloppante de Dieu.
Laissons-nous donc entraîner par elle. Recevons le Souffle de sa grâce et de sa paix. Amen. Spontané
Prière de louange (AM )
Seigneur, je te rends grâce
Pour ta délicatesse, Pour ton amour sans tapage.
Tu es toujours présent, sans être pesant.
Je te rends grâce pour tous les bienfaits que tu dispenses dans ta tendresse discrète, qui accompagne aussi
nos épreuves.
Je te rends grâce pour les choses simples de la vie :
La rosée du matin et la paix du soir,
La lumière de l’aube et le silence de la nuit,
L’eau et le pain pour la route,
Le sourire et la main tendue.
Merci pour le miracle du pardon qui s’offre et qui balaie l’offense.
Je te rends grâce pour le souffle qui m’anime,
Et ton regard bienveillant qui me rend digne.
Que ta tendresse soit ma respiration quotidienne et mon élan envers les autres.
Amen.
Ct Mon ancre et ma voile (p.33)
Confession du péché (Claude)
Spontané
Annonce du pardon (Claude)
Spontané
Prière d’illumination (AM)
Viens, Esprit Saint, toi que je ne vois pas et qui dessilles les yeux,
Toi que je n’entends pas et qui déplies les oreilles ;
Toi dont j’ignore les chemins et qui ouvres nos routes ;
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toi que je ne sens pas et qui est source de tout amour ;
ô viens, Esprit Saint, souffle de Dieu, grand vent de liberté !
Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises. Amen.
Lectures bibliques
Nous lisons dans le Livre des Actes, au chapitre 2, les versets 1 à 6
Quand le jour de la Pentecôte arriva, les croyants étaient réunis tous ensemble au même endroit. Tout à
coup, un bruit vint du ciel, comme un violent coup de vent, et il remplit toute la maison où ils étaient
assis. Ils virent apparaître des langues pareilles à des flammes de feu ; elles se séparèrent et se posèrent une à
une sur chacun d’eux. Ils furent tous remplis de l’Esprit saint et ils se mirent à parler en d’autres langues,
selon ce que l’Esprit leur donnait d’exprimer.
À Jérusalem vivaient des Juifs qui honoraient Dieu, venus de tous les pays du monde. Quand ce bruit se fit
entendre, ils s’assemblèrent en foule. Ils étaient tous profondément surpris, car chacun d’eux entendait les
croyants parler dans sa propre langue.
Nous lisons dans la lettre de Paul aux Romains, au chapitre 8, les versets 14 à 17
Toutes les personnes qui sont conduites par l’Esprit de Dieu sont enfants de Dieu. Car l’Esprit que vous avez
reçu n’est pas un esprit qui vous rende esclaves et qui vous remplisse encore de peur ; mais c’est l’Esprit saint
qui fait de vous des enfants de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu : « Abba, Père ! »
L’Esprit de Dieu atteste lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Nous sommes ses enfants, donc nous sommes aussi ses héritiers ! Oui, héritiers de Dieu, héritiers avec le
Christ ! Car si nous souffrons avec lui, nous serons aussi avec lui dans sa gloire.
Nous lisons dans la 1ère lettre de Paul aux Corinthiens, au chapitre 12, les versets 12 à 27
En effet, comme le corps est un, tout en ayant une multitude de parties, et comme toutes les parties du corps,
en dépit de leur multitude, ne sont qu’un seul corps, ainsi en est-il du Christ. Car c’est dans un seul Esprit que
nous tous — soit Juifs, soit Grecs, soit esclaves, soit hommes libres — nous avons reçu le baptême pour
appartenir à un seul corps ; et nous avons tous été abreuvés d’un seul Esprit.
Le corps ne se compose pas d’une seule partie, mais de plusieurs.
Si le pied disait : « Je ne suis pas une main, donc je n’appartiens pas au corps », il ne cesserait pas pour
autant d’être une partie du corps. Et si l’oreille disait : « Je ne suis pas un œil, donc je n’appartiens pas au
corps », elle ne cesserait pas pour autant d’être une partie du corps.
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Si tout le corps n’était qu’un œil, comment entendrait-il ? Et s’il n’était qu’une oreille, comment sentirait-il les
odeurs ?
En réalité, Dieu a disposé chacune des parties du corps comme il l’a voulu. Il n’y aurait pas de corps s’il ne se
trouvait en tout qu’une seule partie ! En fait, il y a plusieurs parties et un seul corps.
L’œil ne peut donc pas dire à la main : « Je n’ai pas besoin de toi ! » Et la tête ne peut pas dire non plus aux
pieds : « Je n’ai pas besoin de vous ! » Bien plus, les parties du corps qui paraissent les plus faibles sont
indispensables ; celles que nous estimons le moins, nous les entourons de plus de soin que les autres ; celles
dont il est indécent de parler sont traitées avec des égards particuliers qu’il n’est pas nécessaire d’accorder
aux parties plus convenables de notre corps. Dieu a disposé le corps de manière à donner plus d’honneur aux
parties qui en manquent.
Ainsi, il n’y a pas de division dans le corps, mais les différentes parties ont toutes un égal souci les unes des
autres.
Si une partie du corps souffre, toutes les autres souffrent avec elle ; si une partie est honorée, toutes les
autres s’en réjouissent avec elle. Or, vous êtes le corps du Christ, et chacun de vous est une partie de ce
corps.
Ct Rien ne pourra jamais (p.48)
Prédication
Voilà, chers toutes et tous, nous venons d’entendre une belle image ! l’image d’un corps pour décrire
l’Eglise, c’est-à-dire la communauté des croyants. Tous les membres sont différents, uniques, singuliers,
mais cette diversité n’est pas un obstacle à l’unité car tous sont rassemblés, unifiés, par l’Esprit divin.
L’Eglise est donc comme le corps du Christ lui-même, et chaque membre de l’Eglise est une partie de ce
corps pour sa part.
Un risque cependant serait de comprendre l’Eglise comme une dénomination ; alors, le Corps du Christ
serait uniquement l’Eglise catholique ; ou uniquement l’Eglise protestante unie ; ou alors serait uniquement
l’Eglise baptiste, ou pentecôtiste, etc, etc. Le risque serait que chacun croit que son Eglise est la seule qui
soit le Corps du Christ, à l’exclusion des autres. Comme si les êtres humains pouvaient savoir exactement où
se pose l’Esprit saint, où il s’installe : dans tel tabernable, dans tel temple, dans telle maison… comme si la
petite créature humaine pouvait avoir la main sur l’Eternel !
Un autre risque à cette très belle image serait de croire que seules les personnes faisant partie d’une église
chrétienne peuvent former le Corps du Christ. Or, l’apôtre Paul, quand il s’adresse aux Romains, leur dit que
« toutes les personnes qui sont conduites par l’Esprit de Dieu sont enfants de Dieu » (x2). Aucune restriction
dans cette phrase. La seule nécessité pour être enfant de Dieu, pour se savoir enfant du divin, pour se savoir
porteur de l’éternité, est de se laisser conduire par l’Esprit divin, l’Esprit de l’Eternel. Ce n’est donc pas un
faire qui est sollicité, mais un laisser faire : un laisser faire l’Esprit en soi, qui amène effectivement à faire,
mais à partir de cet Esprit en soi.
Déjà, Jean Calvin, un des fondateurs de la Réforme protestante, distinguait l’Eglise visible (par exemple
l’EPU de Sète ou toute autre dénomination d’Eglise), de l’Eglise invisible : celle dont aucune personne
humaine ne peut savoir qui la compose ; l’Eglise invisible : celle constituée de toutes les personnes qui se
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laissent conduire par l’Esprit divin, chrétiens ou non chrétiens. Il me semble important de s’en souvenir, à
une époque de radicalisation du religieux, où chacun affirme avec force conviction qu’il parle ou qu’il agit
au nom de Dieu.
Alors cet Esprit divin, comment le décrire ? Comment en parler ?
En Hébreu, la langue originale dans laquelle a été écrit l’AT, ce n’est pas un esprit mais un souffle. Le
souffle de la respiration. Quand on respire, on a la capacité de la vie en soi ; quand on cesse de respirer, on
perd cette capacité de vivre. L’esprit est donc la force, la puissance de vie : vie biologique, vie psychique,
vie spirituelle. Le Souffle, donc l’Esprit divin, a le pouvoir d’animer l’être humain, de le renouveler, de le
transformer, de l’amener à sa stature d’être pleinement Humain, d’être Nouveau, à l’image de Jésus-Christ
lui-même. Cet esprit n’est pas la pensée ou l’intellect, il est une puissance créatrice qui met en œuvre, qui
donne du sens, qui anime ; il donne la paix, la capacité de pardonner, la capacité de partager, la capacité de
dire la vérité… il remet de la vie et donne des possibles là où toute situation semblait bloquée. Dieu est
Esprit.
Quand l’Esprit divin survient dans l’esprit humain, il pousse l’esprit humain à sortir de soi. Le terme
d’extase désigne cet état de saisissement par la Présence spirituelle ; cette extase conduit l’être humain au-
delà de lui-même, mais sans gommer ses limites, sa structure physique et psychique, sans supprimer sa
raison et son intelligence. Le mot « extase » peut donner l’impression de quelque chose d’un peu illuminé,
ou d’inaccessible, comme réservé à certains ; ou alors il peut effrayer… Pourtant, l’expérience de la
Présence spirituelle n’est pas réservée à certaines élites. Chacun, chacune est appelée à la vivre, parfois
simplement dans un temps de prière, dans un partage avec quelqu’un, devant un paysage grandiose, dans le
regard d’un enfant, en lisant un verset biblique, etc, etc. En tout cas, c’est toujours à notre insu.
Cette Présence spirituelle ne supprime pas les difficultés, les divisions, les ambiguïtés ; mais elle les
surmonte, elle permet de voir plus loin, plus profond, plus large. Elle crée un fragment de vie non-ambiguë.
L’esprit humain reste ambigu durant toute son existence, mais l’Esprit divin crée la vie non ambiguë,
unifiée, réconciliée. Elle pousse le centre égotique de l’être humain à s’ouvrir, notamment à s’ouvrir aux
autres… alors les rivalités disparaissent entre les uns et les autres, l’esprit de concurrence et de compétitivité
est gommé, il n’est plus nécessaire de se concurrencer, de se croire plus grand, plus beau, plus spirituel, plus
riche ; il n’est plus nécessaire de se copier… chacun découvre en l’autre la présence de l’Infini, de
l’Eternel… chacun découvre en l’autre des richesses inouïes… en l’autre, mais aussi en soi ! Car l’Esprit
divin nous réconcilie avec nous-mêmes… nous n’avons alors plus besoin de prétendre être plus ceci ou plus
cela… nous n’avons plus besoin d’être liké sur les réseaux sociaux pour avoir l’impression de valoir quelque
chose… l’Esprit divin nous fait réaliser à quel point nous avons une réelle valeur, une valeur profonde :
quelles que soient ce que nous pensons être des réussites ou des échecs, nous découvrons une Personne
entière, unifiée, qui vaut aux yeux de Dieu, qui est précieuse de toute façon, que rien ni personne ne pourra
jamais séparer de l’Amour, le Véritable.
Cette Présence spirituelle donne à l’être humain la foi, c’est-à-dire une confiance qui rend capable de faire
face à toutes les peurs, sans pour autant les nier ; il le rend capable d’amour authentique ; il crée l’Etre
nouveau que nous sommes toutes et tous appelés à devenir, cet Etre que nous sommes déjà en potentiel. De
magnifiques potentiels sommeillent en chacun de nous… et par l’appel, le fait d’être appelé (par d’autres,
par la Présence spirituelle elle-même), nous amène à devenir enfants de Dieu, porteurs de confiance,
d’amour, de vérité et de paix.
C’est ainsi que chacun peut réaliser et affirmer que l’humanité n’est jamais abandonnée à elle-même. La
Présence spirituelle agit sur l’humanité à tout instant – nous allons l’entendre dans la bouche d’Eve et de
Lenny, dont le témoignage nous atteste cette Présence spirituelle agissante dans le passé et dans le présent…
et donc dans l’à-venir…
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Nous sommes appelés à participer à la Présence divine, mais cette participation est fragmentaire, partielle.
Un fragment de prière authentique élève l’être humain à l’union avec le divin, avec la transcendance unifiée
et unificatrice. L’être humain reste dans la sphère de l’ambigu, de la condition humaine limitée, mais cette
union partielle au divin nous permet de nous engager pleinement dans le monde et pour le monde.
Enfin, cette Présence spirituelle fait irruption aussi de manière particulière à certains grands moments dans
l’histoire, car Dieu n’abandonne jamais l’humanité à elle-même. Cette humanité se trouve continuellement
sous l’emprise de la Présence spirituelle ; les actualités et les réseaux sociaux le montrent peu, préférant
stimuler la peur chez nos contemporains, car la peur est ce qui nous rend soumis, résignés et manipulables.
Mais l’humanité n’est pas livrée à elle-même ; de très nombreuses personnes sont conduites par l’Esprit
divin, dont certaines vont jusqu’à risquer leur vie pour la sauvegarde de celle des autres.
Je voyais récemment dans un reportage le chef spirituel de l’Eglise orthodoxe en Russie en train de bénir les
chars envoyés pour combattre en Ukraine, et en train de bénir la guerre ; et le journaliste faisait remarquer
qu’un prêtre de cette Eglise orthodoxe avait été excommunié (c à d éjecté de l’Eglise avec je ne sais quelles
autres conséquences sur sa vie) parce qu’il avait refusé, lui, de bénir la guerre et les chars. Bénir, je le
rappelle, cela signifie « dire du bon, dire du bien ». Depuis que j’ai entendu cela, je prie pour cet homme, cet
ancien prêtre ; je rends grâce à Dieu pour cet homme, pour son courage. Je suis convaincu que l’Esprit divin
l’a saisi et l’a conduit à ce geste, mais ce n’est que ma conviction personnelle.
Des personnes qui se laissent saisir dans le quotidien par la Présence spirituelle, il en existe des milliers, des
millions et des milliards…
Ces baptêmes, aujourd’hui, nous rappellent que Dieu n’abandonne pas l’humanité à elle-même, à ses
ambiguïtés et à sa folie. La puissance vivante et vivifiante du divin vient à nous, elle saisit ceux qui se
laissent conduire par elle, elle en fait ses enfants, ses porteurs de lumière, d’amour et de vie. Amen.
Musique – ct 47-22 st 1, 2, 3 J’ai tout remis entre tes mains
Confession de foi (lue par Eve et Lenny)
Croire en Dieu, c’est une manière d’être, c’est compter sur quelqu’un d’autre pour devenir soi-même.
Croire en Dieu, c’est être lecteur des témoignages bibliques et chercheur dans la vie, pour y découvrir la
bonne nouvelle de Sa présence au cœur de notre humanité. Il a un plan d’amour qui me porte, et dans
lequel je peux rentrer.
Croire en Dieu, c’est réaliser que la personne de Jésus-Christ, avec son message et sa vie, sa faiblesse, sa
mort et sa résurrection, sont pour moi comme une alliance à mon doigt.
Il devient mon Seigneur, celui qui me guide et me soutient, et surtout m’invite à lutter contre tous les
seigneurs qui veulent dominer notre monde.
Il est proche de moi et m’appelle « son ami ».
Croire en Dieu, c’est être réceptif à son Esprit qui brise
les frontières humaines des générations et des idéologies, des ethnies et des partis.
C’est parier sur une fraternité humaine où l’échange, la joie et la langue du cœur, auront raison de tous nos
conflits et nos divisions.
Ensemble, nous voulons devenir, non pas des représentants mais des témoins, humbles et fidèles, de ce
Dieu de l’Evangile et former son Eglise, c’est à dire la compagnie de ceux qui s’opposent au désespoir ;
parce que, à la suite de Jésus, nous sommes animés par : la foi, l’espérance et l’amour.
Oui, nous croyons.
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Spontané
Baptême Eve et Lenny
Ct 23-09 Seigneur dirige et sanctifie
Remise de la Bible
Eve et Lenny, l’Eglise protestante unie de Sète et bassin de Thau se réjouit de votre baptême. Elle vous offre
cette Bible. Vous y trouverez la parole qui nous fait vivre.
Ste Cène
Je vous invite à la prière de compassion
Père, nous te disons notre joie et notre reconnaissance pour Eve et Lenny qui viennent de recevoir le signe
de ton amour gratuit, sans aucune condition. Que ton Esprit les renouvelle de jour en jour. Nous te confions
sa famille, toutes celles et ceux qui l’entourent aujourd’hui, renouvelle leur être tout entier. Nous te
remercions aussi pour notre baptême et pour la fidélité de ton amour.
Père, nous voulons aussi te confier nos proches. Nous te les nommons dans le silence de nos cœurs…
Seigneur notre Dieu, envoie ton Esprit sur le monde : qu’il souffle en tempête de vie sur notre terre, qu’il
chasse la haine incrustée au cœur des peuples ; qu’il détruise les indifférences mortelles, qu’il enseigne la
vanité de la puissance dominatrice, qu’il donne à tout homme, à toute femme, le désir et le courage d’une
fraternité véritable ; qu’il relève les plus malmenés, les plus fragilisés et qu’il ranime l’espérance en un
avenir meilleur.
Seigneur Jésus-Christ, envoie ton Esprit sur l’Eglise : que sa force lui procure un élan nouveau. Donne-lui
ton Esprit pour qu’elle se mette avec une vigueur renouvelée au service des êtres humains. Avec ton Esprit,
donne-lui la passion de la vérité, la soif de l’amour, le goût de la bonté. Rends-la audacieuse dans l’annonce
de la Bonne Nouvelle.
Et comme Jésus l’a enseigné à ses disciples, ensemble, nous te disons : Notre père qui est aux cieux, Que
Ton nom soit sanctifié, Que ton règne vienne, Que Ta volonté soit faite sur le terre comme au ciel, Donne
nous aujourd’hui notre pain de ce jour, Pardonne nous nos offenses comme nous pardonnons a ceux qui
nous ont offensés, Ne nous soumets pas a la tentation, mais délivre nous du mal, Car c’est a toi
qu’appartiennent, Le règne, la puissance et la gloire, Au siècle des siècles Amen.
Offrande – Annonces
Envoi et Bénédiction
Que la paix de Dieu,
qui dépasse tout ce que l’on peut concevoir,
garde vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.
Allez et demeurez dans la paix de la Présence spirituelle. Amen.Spontané