Culte à Sète le 9 février 2025

Culte à Sète le 9 février 2025
Bienvenue…
Musique (orgue)
Annonce de la grâce
Je connais, moi, les projets que j’ai formés pour vous – Parole du Seigneur.
Projets de paix, et non de malheur, pour vous donner un avenir et une espérance.
Vous crierez vers moi et vous avancerez. Vous me prierez et je vous entendrai.
Vous m’interrogerez et vous me trouverez. Oui, vous me chercherez de tout votre
cœur, et je me laisserai trouver par vous – Parole du Seigneur dans le livre de
Jérémie.
Si nous sommes rassemblés, c’est à cause d’une promesse : dans l’Ecriture, par
sa Parole, Dieu trace un chemin devant nos pas ; il nous ouvre un avenir ; il
promet une espérance.
Je vous invite à la prière
Seigneur notre Dieu, notre Père, nous nous posons devant toi pour nous mettre à
l’écoute de ta Parole. Accorde-nous de te chercher de tout notre cœur, et la grâce
d’entendre ton amour infini. Oui ta parole est grâce et paix. Donne-nous de nous
en emparer ; qu’elle éclaire notre avenir et devienne notre espérance. Amen.
Spontané
Louange – Adoration (Maria)
Louange à toi, Seigneur, pour le cœur nouveau que tu mets en nous : un cœur de
chair, un cœur qui espère, un cœur qui croit.
Louange à toi pour ton Esprit qui nous éclaire et nous conduit : il guide nos pas,
il éclaire nos nuits, il nous montre la voie et renouvelle nos vies.
Louange à toi pour ce pays que tu nous donnes : un pays à habiter, un pays où
inscrire la confiance et la fraternité.
Louange à toi parce que tu fais de nous un peuple : peuple de frères, vivant de
l’Evangile, peuple qui espère, même dans son exil.
Louange à toi Seigneur.
Ct 47-19, st 1, 2, 3
Prière de repentance
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Un archéologue découvre une vieille pièce de monnaie. Elle est recouverte de
terre, totalement oxydée, rongée par l’humidité, abîmée par le temps. Elle na ni
relief, ni figure présentable.
Doucement, avec infiniment de précautions, l’homme la brosse avec un pinceau,
il la nettoie, la polit, répare l’usure du temps. Et miracle ! Apparaît sur la pièce de
monnaie l’image du roi au nom de qui elle avait été frappée.
Il en est de même dans nos vies. Nous pouvons nous sentir fatigués, abîmés,
défigurés. Le quotidien nous pèse, les interactions avec les uns et les autres nous
oxydent, les soucis ou les rancoeurs nous défigurent.
Seigneur, viens à notre secours ! Arrache-nous à la puissance des ténèbres !
Spontané
Annonce de la grâce
Jésus le Christ est le grand archéologue ! son pardon agit comme un révélateur. Il
fait briller en nous l’image de Dieu qui avait été cachée par le péché.
Sa miséricorde restaure ce qui en nous est brisé.
Sa grâce renouvelle ce qui en nous est abîmé.
Son pardon guérit ce qui en nous est souillé.
Pardonnés, relevés, nous nous levons pour chanter…
Spontané
Prière d’illumination
Seigneur notre Dieu et notre Père, notre route est parfois obscure, parsemée de
pièges et de pierres ; notre marche est souvent incertaine, menacée d’erreurs et
d’errances.
Que ta parole soit pour nous aujourd’hui, un phare qui nous montre la direction,
une lumière qui nous guide dans l’inconnu, une lampe qui éclaire nos décisions,
un flambeau qui annonce ta venue. Amen.
Lectures bibliques (Jean-François ?)
Une partie du psaume 51 :
Mon Dieu, toi qui es si bon, accorde-moi ta grâce ! Ta tendresse est si grande, efface
mes fautes.
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Lave-moi complètement de mes torts, et purifie-moi de mon péché.
Je t’ai désobéi, je le reconnais ; ma faute est toujours là, je la revois sans cesse.
C’est contre toi seul que j’ai mal agi, j’ai fait ce que tu désapprouves.
Ainsi tu as raison quand tu prononces ta sentence, tu es irréprochable quand tu rends
ton jugement.
Moi je fus enfanté dans la faute, dans le péché ma mère m’a conçu.
Mais ce que tu aimes trouver dans le cœur d’une personne, c’est le respect de la
vérité.
Au plus profond de ma conscience, fais-moi connaître la sagesse.
Fais disparaître mon péché, et je serai pur ; lave-moi, et je serai plus blanc que la
neige.
Annonce-moi ton pardon, il m’inondera de joie.
Nous lisons dans l’Evangile selon Luc, au chapitre 7, à partir du verset 36 :
Un des pharisiens invita Jésus à manger avec lui. Il entra donc chez le pharisien
et s’installa à table. Or une femme, une pécheresse de la ville, sut qu’il était à
table chez le pharisien ; elle apporta un flacon d’albâtre plein de parfum et se tint
derrière lui, à ses pieds. Elle pleurait et se mit à mouiller de ses larmes les pieds
de Jésus ; elle les essuyait avec ses cheveux, les embrassait et répandait sur eux
du parfum. En voyant cela, le pharisien qui l’avait invité se dit : Si cet homme
était prophète, il saurait qui est la femme qui le touche et ce qu’elle est : une
pécheresse.
Jésus lui dit : Simon, j’ai quelque chose à te dire.
– Maître, parle, répondit-il.
– Un créancier avait deux débiteurs ; l’un devait cinq cents deniers et l’autre
cinquante. Comme ils n’avaient pas de quoi le rembourser, il leur fit grâce à tous
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les deux. Lequel des deux l’aimera le plus ? Simon répondit : Je suppose que c’est
celui à qui il a fait grâce de la plus grosse somme. Il lui dit : Tu as bien jugé.
Puis il se tourna vers la femme et dit à Simon : Tu vois cette femme ? Je suis
entré chez toi, et tu ne m’as pas donné d’eau pour mes pieds ; mais elle, elle a
mouillé mes pieds de ses larmes et les a essuyés avec ses cheveux. Tu ne m’as
pas donné de baiser, mais elle, depuis que je suis entré, elle n’a pas cessé de
m’embrasser les pieds. Tu n’as pas répandu d’huile sur ma tête ; mais elle, elle a
répandu du parfum sur mes pieds. C’est pourquoi, je te le dis, ses nombreux
péchés sont pardonnés, puisqu’elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui l’on
pardonne peu aime peu. Et il dit à la femme : Tes péchés sont pardonnés.
Ceux qui étaient à table avec lui commencèrent à se dire : Qui est-il, celui-ci,
qui va jusqu’à pardonner les péchés ? Mais il dit à la femme : Ta foi t’a sauvée ;
va en paix.
Nous poursuivons notre lecture au chapitre 8, les versets 1 à 3 :
Par la suite, il se mit à cheminer de ville en ville et de village en village ; il
proclamait et annonçait la bonne nouvelle du règne de Dieu. Les Douze étaient
avec lui, ainsi que quelques femmes qui avaient été guéries d’esprits mauvais et
de maladies : Marie, celle qu’on appelle Madeleine, de qui étaient sortis sept
démons, Jeanne, femme de Chuza, intendant d’Hérode, Susanne, et beaucoup
d’autres, qui utilisaient leurs biens pour les servir.
Ct 49-13 Reste avec nous, st 1, 2, 4
Prédication
Dimanche dernier, nous avons vu Jésus dans la synagogue et l’étonnement de
ceux qui l’entendaient. Nous avons vu comment leur savoir les empêchait de
croire. Eux qui pensaient savoir qui était Jésus, c à d le charpentier, le fils de
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Marie, au milieu de ses frères et sœurs… s’avéraient incapables de croire… en
lui.
1/ Et bien avec notre texte d’aujourd’hui, cela continue… Simon le Pharisien est
lui aussi enfermé dans son savoir : il sait qui est cette femme. Sa réputation la
précède et la définit. La voici réduite à sa seule réputation. Simon sait et enferme
cette femme définitivement dans son savoir à lui. Comme si l’on pouvait réduire
un être à ce que l’on en sait… ou à ce que l’on croit en savoir… Croyant savoir,
il lui est impossible de croire… et même de voir… tragique aveuglement qui lui
fait manquer l’essentiel…
Aveuglé par les frontières que son soi-disant savoir sur la femme trace, enfermé
dans les frontières religieuses qui le rassurent, il ne voit pas le miracle qui est en
train de se déployer devant ses yeux… il ne voit ni la beauté du geste, ni ce qu’il
révèle d’un amour infini, ni l’amour éperdu de reconnaissance… obsédé par son
soi-disant savoir, et sur la Femme, et sur Jésus (qui s’il était vraiment prophète
devrait savoir, lui aussi !), il se trouve enfermé dans sa rigidité morbide, et du
coup, veut y enfermer et la femme et Jésus.
Jésus n’a qu’une arme, sa Parole et ses paraboles. Quelle habile parabole, par
laquelle il va dévoiler au pharisien son aveuglement et son obstination. En
quelques phrases, Jésus précise le contenu de son message :
1/ la culpabilité de chacun, car chacun est coupable : le pharisien comme la
femme ;
2/ la différence entre leurs fautes respectives, puisque dans cette parabole, l’un a
une dette moins grande que l’autre, cette différence qui est si importante aux
yeux du pharisien qui se croit bien plus juste qu’elle ; mais Jésus mais aussi en
exergue la vanité de cette différence, c à d qu’il réduit cette différence à rien, car
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de toute façon, aucun des deux n’a la capacité de rembourser la dette, qu’elle
soit grande ou qu’elle soit petite… tous les deux se trouvent pareillement
dépendants de la grâce du créancier… cependant une différence infinie sépare le
Pharisien de la femme : leur amour envers le créancier. Et là, c’est la femme
pècheresse, la prostituée qui aime largement plus…
II/Il est vrai que cette femme a une façon tout à fait inhabituelle de se comporter
en société. Elle n’a pas trouvé mieux pour exprimer son amour et sa
reconnaissance à Jésus que ce geste hautement érotique, une scène tout à fait
inconvenante à l’époque, et qui plus est en public. Déjà, elle s’introduit dans un
banquet qui est une affaire réservée aux hommes ; ensuite, elle apporte un flacon
de parfum qui provient de sa vie corrompue (l’argent gagné de la prostitution) ;
elle défait ses cheveux, ce qui a, pour la sensibilité juive, un effet hautement
érotique ; elle baise les pieds de Jésus, geste réservé à l’épouse envers son époux,
et elle accomplit au vu de tous un geste qui relève de la stricte intimité du
couple : elle lui oint les pieds.
Mais Jésus, non seulement il a des oreilles pour entendre, mais il a aussi des yeux
pour voir. Il voit bien plus profond, bien plus loin que nous. Lui interprète cette
conduite autrement que le Pharisien et ne refuse pas ce geste. Il ne se laisse pas
enfermer par les clichés de l’époque. Il perçoit, grâce aux abondantes larmes de
cette femme, le vrai sens du message caché de ces gestes …
Les larmes de la femme, en effet, peuvent avoir au moins deux sens.
D’une part, larmes de repentance… la chair meurtrie de celle qui réalise à quel
point elle s’est trompée… à quel point elle a erré… à quel point elle a raté le
cible… à quel point elle s’est elle-même dénigrée et a attenté à sa vocation d’être
humain…
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D’autres part, larmes d’adoration… par ses caresses, ses baisers, sans aucun mot,
son corps est parole, son corps témoigne de l’amour et de la reconnaissance
éperdue qu’elle voue à Jésus…
Du coup, elle ne refoule pas sa sensualité, elle ne la cache pas comme si,
désormais, il ne lui fallait plus être sensuelle ; non, c’est plutôt comme une
alchimie, toute sa sensualité est bien présente, elle n’est pas devenue une autre
personne, mais cette sensualité est « utilisée » autrement, cette fois-ci sa
sensualité se met au service du témoignage… Au fond, elle est en train d’advenir
à ce qu’elle est vraiment.
III/ Autre point intéressant que nous livre ce récit, c’est que, avant même d’être
pardonnée, elle sait déjà qu’elle peut s’abandonner dans la confiance en Dieu et
en Jésus. Avant même la parole prononcée par Jésus pour la libérer, elle a déjà
découvert ce qu’est la grâce de Dieu qui annule toute dette, qui libère et relève.
Elle a découvert l’abondance et la générosité infinie de l’amour de Dieu qui
accueille et pardonne toute personne sincère. Elle a découvert la confiance de
Dieu qui l’envoie vivre en paix. C’est tout cela qu’elle est venue exprimer aux
pieds de Jésus, en bravant toutes les conventions de la bien-pensance.
Repentance et adoration, cela marche ensemble. C’est pourquoi j’insiste souvent
pour faire la distinction entre repentance et culpabilité. La repentance est toujours
mêlée d’adoration ; c’est une ouverture à l’amour infini de Dieu. Dans cette
ouverture, on prend conscience d’avoir été complice du mal, d’avoir favorisé que
ce qui fait mal se répande en soi et autour de soi. Que ce soit par le biais d’une
grande chose ou d’une petite chose n’a pas d’importance dans la repentance.
La culpabilité, elle, est un jugement humain sur soi-même, qui voit seulement
une faute qui n’aurait pas dû être commise ; la culpabilité est un jugement froid
qui évalue si la faute est grande ou petite, si elle mérite telle ou telle sanction.
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Elle est totalement dénuée d’amour et de compassion pour les personnes qui ont
pâti. Elle est jugement stérile, c à d qu’il n’empêchera pas de recommencer
indéfiniment les mêmes errements.
IV/ Cela nous conduit à une question a fait couler beaucoup d’encre à propos de
ce texte. Est-ce l’amour de la femme qui conditionne le pardon de Dieu ? Est-ce
parce qu’elle aime Dieu qu’elle est pardonnée ? Du coup le pardon de Dieu serait
conditionné par l’attitude humaine. Ou est-ce parce que Dieu l’a pardonnée
qu’elle l’aime autant ?
Dans ce texte, nous trouvons les deux à la fois, car pour l’évangéliste Luc, les
deux partenaires sont impliqués dans la réconciliation. Même si l’amour de Dieu
reste central dans son évangile et est premier, il accorde toujours une place
importante à la responsabilité humaine, c’est-à-dire à la réponse apportée par
l’homme à l’amour de Dieu. Il y a l’amour de Dieu, premier, puis la réponse de
l’homme, de la femme. Pour Luc, il n’y a pas d’amour divin sans réciprocité.
Non pas que Dieu attende une réciprocité pour délivrer son amour, mais sans la
réciprocité, sans l’accueil de son amour par l’être humain, c’est un peu comme si
l’amour divin ne pouvait pas s’actualiser, ne pouvait pas avoir d’effet, et du coup
l’être humain en est privé.
Nous le voyons bien dans ce texte. L’amour de Jésus n’est pas réservé à la seule
femme ; Simon pourrait aussi en bénéficier. Mais enfermé qu’il est dans ses
jugements et ses préjugés, dans son soi-disant savoir sur l’un et sur l’autre, il ne
peut recevoir cet amour. Il en est donc comme privé.
Au fond, à travers les deux personnages que sont Simon et la femme, le texte met
l’accent sur deux manières différentes d’établir – ou pas – la relation pour
répondre à cet amour de Dieu et de Jésus. Les gestes de la femme montre qu’elle
se sait déjà aimée, avant même de recevoir une parole de pardon ; et cet amour
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est aussi la cause du pardon divin car son amour à elle lui permet de recevoir
l’amour de Deu qui, lui, est sans condition.
La femme ne s’est pas intéressée à « faire son devoir », ni à « faire ce qu’il faut
quand on est un bon croyant »… elle est venue à Jésus, bravant tous les interdits
et toutes les calomnies, et elle s’est attachée à lui, dans une communion
extrêmement étroite à lui. Oui, il n’est pas question ici de devoir, mais de
rencontre. La rencontre de l’amour avec l’amour. Amen.
Musique
Ct Je crois et j’espère, st 1, 2, 3
Confession de foi
Nous croyons en Dieu, Seigneur de l’univers.
Il a appelé à la vie la terre, les cieux et tout ce qui s’y trouve.
II est le seigneur des vivants. Il vit éternellement.
Nous croyons en Jésus-Christ, fils unique de Dieu venu habiter
sur la terre parmi nous.
Il a mangé de notre pain et bu de notre vin. Il est mort et
revenu à la vie
pour que nous soyons tous réconciliés en Dieu.
Nous croyons que l’Esprit nous enseigne toutes choses
concernant Dieu.
Il nous rappelle l’amour inconditionnel du Père et la vie éternelle
donnée par le Fils. Amen!
Prière d’intercession (avec les dix paroles, les dix commandements)
AM. Tu as dit ; Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai libéré de la maison de
servitude.
En toi se trouve notre libération. Apprends-nous à vivre la liberté que tu nous as
donnée. Que la prière nous allège, nous ouvre au partage et à la rencontre.
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Maria : Tu as dit : Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face, tu ne te feras
pas d’idole
Accorde la libération aux victimes de l’idolâtrie. Ceux qui courent derrière le
pouvoir, l’argent, la consommation et l’image de soi ; toutes ces idoles qui
fascinent mais ne parlent pas.
Tu as dit : tu ne prendras pas le nom du seigneur ton Dieu en vain.
Accorde la libération à ceux qui t’ont enfermé dans leur pensée ou dans leur
expérience. Ceux qui prennent ton nom pour justifier leurs propres paroles, ou
pour faire pression sur le prochain.
Tu as dit : souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier.
Accorde la libération aux prisonniers du travail et de l’agitation. Ceux qui ont
oublié la valeur de la halte, du silence et du repos, les victimes de la tyrannie des
calendriers.
Tu as dit : honore ton père et ta mère.
Accorde la libération à ceux qui ne sont pas honorés dans leur dignité d’humains.
Nous te prions pour les familles, pour qu’elles soient des lieux où chacun est
distingué et aimé, sans avoir rien à prouver.
Tu as dit : tu ne commettras pas de meurtre
Accorde la libération aux victimes de la violence et de l’indifférence. Ceux qui
subissent l’oppression barbare de la tyrannie et de la brutalité. Mais aussi à ceux
qui se perdent dans la violence feutrée du silence et de la solitude.
Tu as dit : tu ne commettras pas d’adultère
Accorde la libération à ceux qui se sentent trahis et abandonnés, aux perdants de
la compétition du charme et de la séduction. Mais aussi à ceux qui ont perdu le
courage de la fidélité et de l’engagement, qui ont désappris la valeur de la
patience et du temps nécessaire à toute construction.
Tu as dit : tu ne commettras pas de vol.
Accorde la libération aux victimes du vol et de la violence économique. Ceux qui
ne sont pas reconnus dans leur labeur, spoliés dans leurs justes droits, méprisés
dans leur travail.
Tu as dit : tu ne commettras pas de faux témoignage
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Accorde la libération aux victimes des rumeurs et de la calomnie. Ceux qui sont
injustement accusés, méprisés et rejetés par le mensonge. Sois leur avocat, toi qui
es le Dieu de la justice.
Tu as dit : tu ne convoiteras rien de ce qui appartient à ton prochain
Accorde la libération aux victimes de la cupidité et de la convoitise. Ceux qui
sont prisonniers de l’image qu’ils donnent, qui courent derrière les mirages de la
publicité, qui se perdent dans la consommation et la futilité.
Enfin Seigneur, accorde la libération à nos proches, ceux que nous te confions
dans le silence de nos cœurs…
Avec Jésus, nous te disons… Notre Père…
Offrande (orgue)
Annonces (répétition des cantiques à 10 h tous le dimanches) 2ème dimanche J-
Freddy – bénédiction de mariage de Magali et Emeric Prados le 15 mars à 15 h
au temple.
Envoi et Bénédiction
Ta foi t’a sauvé ! Va en paix !
La paix de Dieu, qui surpasse tout ce que l’on peut imaginer, garde vos cœurs,
vos corps et vos esprits en Jésus-Christ. Amen.
Spontané
Musique (orgue)

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