Culte à Sète du 14 juillet 2024

Culte à Sète du 14 juillet 2024
Musique
Accueil et grâce
A vous, grâce et paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ.
Lui qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle ; lui qui nous a choisis en lui
avant la fondation du monde. Lui qui nous a pré-destinés à être pour lui, des fils
et des filles adoptifs, par Jésus-Christ, il nous bénit encore ici et maintenant.
Amen.
Ct 62-79 Rendons gloire à Dieu notre Père
Prière de louange (Maria ?)
Seigneur notre Dieu, nous te remercions pour Jésus le Christ.
Par sa Parole, il interroge et il bouscule, il nous appelle à une vie nouvelle, il
élargit notre compréhension de toi, il change radicalement nos pensées, notre
regard. Sa Parole est parfois dure à entendre, mais sa Parole est vérité, et la vérité
rend libre.
Seigneur notre Dieu, nous te remercions pour Jésus le Christ.
Par ses miracles, il parle à nos peurs, à nos angoisses, à nos prisons, à nos
infirmités ; il nous rencontre sur le lieu de nos blessures, il nous invite à mener
une vie libérée, il nous appelle à être porteurs de sa guérison.
Seigneur notre Dieu, nous te remercions pour Jésus le Christ.
Par sa mort, il nous montre le chemin des béatitudes, il nous dépouille de nos
fausses richesses, il nous délivre de toutes nos morts. Sa pauvreté est une force,
sa nudité est un vêtement, sa mort est notre vie.
Seigneur notre Dieu, nous te rendons grâces pour Jésus le Christ.
Par sa résurrection, il fait route avec nous, il nous envoie pour être témoins, il
nous donne sa paix, il construit notre confiance, il fonde notre espérance, il nous
appelle à aimer et à pardonner. Amen.
Ct 12-01 Je louerai l’Eternel, st 1, 3, 4
Prière de repentance
2
Nous aussi, nous vivons parfois selon nos mauvais désirs, nos convoitises, nous
accomplissons ce que veulent nos impulsions et nos pensées égotiques.
Nous aussi, nous vivons dominés par la peur, la rancune, le désespoir.
Devant l’immense compassion de Dieu, reconnaissons les lieux de notre errance ;
identifions en nous les mille et une manières dont nous fabriquons nous-mêmes
notre perte… silence
Ct 44-14 Oh prends mon âme, st 1 et 2
Annonce du pardon
Dieu est riche en compassion ; à cause du grand amour dont il nous aime, alors
que nous étions comme morts à cause de nos fautes, il nous fait revivre avec le
Christ. Il nous donne la richesse extraordinaire de son pardon et de sa grâce.
C’est gratuitement que vous êtes délivrés. Amen.
Ct 45-06 O Jésus mon frère, st 1 et 2
Prière d’illumination
Au moment où nous ouvrons les Ecritures, nous pouvons être tentés d’y chercher
un reflet de notre propre gloire, une confirmation de nos propres idées, une
approbation de notre propre justice. Alors nous sonderons les Ecritures mais nous
passerons à côté du Christ.
C’est pourquoi nous prions.
Au moment où nous ouvrons le Livre, donne-nous Eternel d’y entendre une
parole qui proclame ton royaume et ta justice. Et si cette parole conteste nos
choix de vie, change notre cœur, pour qu’il se convertisse à Jésus le Christ.
Amen.
Lectures bibliques
Nous lisons dans la lettre de Paul aux Ephésiens, au chapitre 1, les versets 3
à 12 (JF) :
Bénissons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ ! Il nous a bénis en nous
accordant toute bénédiction spirituelle dans les cieux dans notre union avec
le Christ. Avant la création du monde, Dieu nous a déjà choisis pour être à lui par
le Christ, afin que nous fassions ce que Dieu veut et que nous soyons sans défaut
à ses yeux.
3
Dans son amour, Dieu a décidé par avance qu’il ferait de nous ses enfants par
Jésus Christ ; dans sa bienveillance, voilà ce qu’il a voulu. Louons donc Dieu pour
le don magnifique qu’il nous a généreusement fait en son Fils bien-aimé.
Car, par le sang versé du Christ, nous sommes délivrés du mal et
nos péchés sont pardonnés. Dieu nous a ainsi manifesté la richesse de
sa grâce, qu’il nous a accordée avec abondance en nous procurant une pleine
sagesse et une pleine intelligence.
Dans sa bienveillance, il nous a fait connaître le projet de salut qu’il avait
décidé par avance de réaliser par le Christ.
Ce projet, que Dieu conduira à son accomplissement à la fin des temps,
consiste à rassembler tout ce qui est dans les cieux et sur la terre sous une seule
tête, le Christ.
Par notre union avec le Christ, nous avons reçu la part qui nous était promise,
car Dieu nous a choisis par avance, selon ce qu’il a décidé ; et Dieu réalise toutes
choses conformément à ce qu’il a décidé et voulu. Louons donc la grandeur de
Dieu, nous qui avons été les premiers à mettre notre espérance dans le Christ !
Nous lisons dans l’évangile selon Marc, au chapitre 6, les versets 7 à 13 :
Jésus parcourait tous les villages des environs et enseignait. Il appela
les douze disciples et se mit à les envoyer deux par deux. Il leur donna autorité
sur les esprits impurs et leur fit ces recommandations : « Ne prenez rien avec
vous pour la route, sauf un bâton ; pas de pain, ni de sac, ni d’argent dans la
ceinture. Mettez des sandales, mais n’emportez pas de tunique de rechange. »
Il leur disait encore : « Si vous recevez l’hospitalité dans une maison, restez-y
jusqu’à ce que vous quittiez l’endroit. Si les habitants d’une localité refusent de
vous accueillir et de vous écouter, partez de là et secouez la poussière de vos
pieds : ce sera un avertissement pour eux. » Les disciples s’en allèrent donc
proclamer aux gens de changer de vie. Ils chassaient beaucoup de démons,
faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades et les guérissaient.
4
Ct 43-05, st 1, 3, 4 Je veux répondre, ô Dieu
Prédication
Jésus parcourt les villages et enseigne. Et dans ce texte du jour, il appelle. Il
appelle 12 disciples, 12 personnes à sa suite. Il les appelle, et les envoie, deux par
deux, dans les villages et les maisons où on les accueillera.
I – l’Appel
a/ Alors concrètement, à quoi correspond un appel ? Imaginons que vous soyez
en train de bricoler dans votre jardin, et tout à coup, vous entendez quelqu’un
vous appeler. Que faites-vous alors ? D’abord, vous interrompez votre activité.
Vous arrêtez immédiatement ce que vous étiez en train de faire, de dire, de
penser… arrêt sur image. Comme une coupure qui surgit dans le déroulé du
quotidien ; quelque chose vient stopper les habitudes et créer comme un espace,
un iatus.
Alors, peut-être que vous levez les yeux – c’est une expression courante dans la
Bible. Vous vous souvenez, lorsque Abraham saisit son couteau pour sacrifier son
fils Isaac, quand il s’entend être appelé par son nom, il interrompt son geste, et
aussitôt, il lève les yeux – c’est alors qu’il voit un bélier qui servira pour le
sacrifice. Cette expression biblique « lever les yeux », c’est vraiment pour dire la
réception d’un appel, un basculement, une ouverture de conscience à la Présence
divine.
Deuxième possibilité quand on vous appelle, c’est de vous retourner. Comme
Marie-Madeleine au matin de la résurrection de Jésus, qui, à l’appel du Christ, le
reconnaît. Elle se retourne alors. Se retourner, dans la Bible, c’est se repentir,
c’est changer de vie, c’est changer d’orientation, c’est délaisser la mentalité du
monde et passer à la vie en Christ.
b/ Ensuite, quand on reçoit un appel qui interrompt notre activité, une question
surgit immédiatement : qui m’appelle ? S’agissant de notre vie de foi, de notre
vie d’Eglise, cette question est essentielle. Il s’agit de discerner qui m’appelle
vraiment. C’est pourquoi, dans notre Eglise, pour qu’il y ait envoi, pour que l’on
envoie quelqu’un dans tel ou tel service, il faut d’abord qu’il y ait appel. D’une
part, l’appel interne, l’appel à suivre le Christ que nous ressentons en notre
intériorité ; mais aussi, et c’est indispensable, l’appel externe, passant par une
communauté ou des personnes concrètes, pour éviter que cet appel ne soit qu’un
fantasme et ne corresponde pas à la réalité.
5
c/ Enfin, la balle est dans le camp de celui qui est appelé.
Dans les évangiles, nous voyons certains répondre « oui », et finalement ne pas
aller travailler à la vigne… d’autres répondre « non », et finalement y aller…
nous voyons certains se lever immédiatement et suivre Jésus, quand d’autres ont
tant à faire qu’ils ne peuvent répondre favorablement… Une autre fois, c’est
Jésus lui-même qui invite à s’asseoir (c’est-à-dire à prendre le temps avant de
répondre) et à mesurer si l’on aura le souffle suffisamment long pour tenir l’appel
sur la durée… donc il n’y a pas un seul schéma…
Alors quelle réponse l’appelé va-t-il apporter ? Va-t-il dire : « Me voici » ? Peut-
être le fera-t-il immédiatement. Peut-être le fera-t-il plus tard. Peut-être ne le
fera-t-il jamais.
Et ce, d’autant que l’appel est assorti d’une autorité, certes, l’autorité de Jésus
lui-même, autorité sur les esprits impurs, mais dont nous avons vu qu’elle ne
fonctionnera pas comme une baguette magique ; cette autorité du Christ ne
permettra pas d’ouvrir toutes les portes ni tous les cœurs. L’autorité dont le
disciple est revêtu est bien celle du Christ, c’est une réelle autorité, mais elle ne
permettra pas au missionnaire de forcer l’écoute et l’accueil de la Parole de
l’Evangile. Car celui qui écoute l’évangile reste toujours libre d’y répondre par la
foi, ou pas.
De plus, la recommandation qui accompagne l’appel a de quoi refroidir l’élan des
plus enthousiastes : partir sur les routes seulement muni d’un bâton et d’un
compagnon ! Ni pain, ni argent, ni sac, ni tunique de rechange. « Nus et
culottés », pourrions-nous dire…
Dietrich Bonhoeffer explique ici qu’il est nécessaire que ces messagers soient
dans un état de royale pauvreté. En effet, étant donné que la force des envoyés
réside uniquement dans la parole de Jésus, il faut qu’ils soient pauvres et nus
pour que l’on ne voit en eux et sur eux que la parole de Jésus. C’est dans cet état
de royale pauvreté que les messagers peuvent rendre témoignage de la richesse
de leur Seigneur. Au fond, il faut que les envoyés n’aient à leur disposition que la
richesse de leur Seigneur ; qu’ils ne puissent utiliser rien de leur bien propre pour
convaincre, manipuler ou imposer. Qu’ils ne soient porteurs que de la richesse de
leur Seigneur, que de la richesse que leur Seigneur leur donne pour accomplir la
mission, le service du Christ.
Car s’ils avaient une quelconque richesse en propre (pas que l’argent, cela peut
être la force de conviction, ou le rang élevé dans la société, ou la quantité de
6
diplômes accumulés, ou encore un beau langage, ou encore une grande
gentillesse… tout ce qui pourrait faire en sorte qu’on les accueille, mais pas pour
la parole du Seigneur. Or s’ils n’ont rien, vraiment rien à offrir de particulier, on
ne verra d’eux que la parole du Seigneur. Qui sera à prendre, ou à laisser. A
accueillir ou à rejeter. Si l’on rejette la parole de Jésus, la parole du salut, il ne
reste alors plus aux envoyés qu’à débarrasser ce lieu. Ils s’en vont alors, parce
que la parole ne peut pas rester à cet endroit. Ils quittent cette maison, ces
personnes, cette communauté, car elles refusent de mettre leur confiance dans la
Parole divine.
II – Les envoyés sont donc dépouillés par l’appel qu’ils reçoivent – nous avons
vu pourquoi. Dépouillés, mais pas démunis. En effet, la lettre de Paul aux
Ephésiens nous apprend que les appelés ont été choisis par Dieu dès avant la
création du monde. Ils ont été choisis pour être à lui, par le Christ.
Ici est rappelé ce qui est souvent appelé le « plan de Dieu », la « volonté de
Dieu », avec des mots très humains, trop humains. Malheureusement, beaucoup
d’horreurs ont été justifiées par ce thème de l’élection… l’élection du peuple de
Dieu peut paraître aussi insupportable à celui qui en est l’objet qu’à celui qu’elle
semble écarter. Pour l’un, la tentation est grande de s’arroger un pouvoir
sacralisé, de diviniser la cause qu’il défend. Pour l’autre, le fait que Dieu en ait
élu certains et pas d’autres en fait un Dieu arbitraire et incompréhensible. C’est
vrai, la parole de l’élection peut engendrer le terrorisme, mais elle peut aussi
engendrer le lavement des pieds à la suite du Christ.
Remarquons quand même qu’à aucun moment la lettre aux Ephésiens ne vante
les mérites de ceux qui sont appelés, de ceux qui sont élus – et les évangiles non
plus d’ailleurs, au contraire… Paul dit bien qu’il était le dernier des derniers…
rien en lui ne mérite un tel choix, absolument rien…
Personnellement, ce choix des personnes envoyées par Dieu depuis dès avant la
création du monde, je le comprends à partir du but. Quel est le but de ce thème de
l’élection ? Que veut dire l’auteur de la lettre ? Il veut faire comprendre aux élus
qu’il compte sur eux pour mettre en oeuvre Dieu veut pour l’humanité. Voilà le
but de cette élection. Non pas de s’enorgueillir, mais de mettre en œuvre ce que
Dieu veut pour l’humanité, c’est-à-dire la réconciliation de tout le cosmos. Dieu
veut réconcilier tout et tous. Voilà ce qu’il veut dans sa bienveillance. C’est
pourquoi il en appelle certains à se mettre au service de ce plan d’amour et
d’unité.
7
Pour le dire autrement, on peut voir l’amour de Dieu est comme un flot puissant
qui est en mouvement, que rien ne peut arrêter ; ce flot puissant veut délivrer les
humains de ce qui les retient prisonniers de leurs peurs, de leurs étroitesses, de
leur enfermement dans la haine, la convoitise et le malheur. C’est un flot puissant
qui est en marche, par lequel les élus sont comme saisis et se retrouvent eux-
mêmes acteurs de ce flot puissant, oeuvrant par ce flot puissant, oeuvrant dans ce
flot puissant, oeuvrant pour ce flot puissant, à leur niveau à eux, à leur tout petit
niveau, dans leur vie de tous les jours.
Un peu comme une minuscule fourmi qui serait saisie par un immense flot, qui se
laisserait guider tout en participant activement à la force de cette énergie
puissante de salut et de libération.
Ce choix des envoyés par Dieu depuis dès avant la création du monde, je le
ressens comme une force. Une force (la force divine) qui vise à la réconciliation
de tout le cosmos en Christ, et qui ne cesse de pousser dans ce sens depuis
toujours et pour toujours.
Alors oui, les appelés se retrouvent dépouillés par l’appel… pas de
reconnaissance, pas de réputation, pas forcément de réussite, toujours moins
d’argent et de volonté propre, détachés de liens auxquels ils tenaient, etc, etc…
dépouillés, oui, mais portés : portés par l’appel lui-même, porté par ce grand
flot qui est de toujours à toujours, portés par cette puissance qui donne à
l’appelé une grande légèreté, une immense légèreté.
Une immense légèreté, car l’appel n’est alors pas vécu comme quelque chose que
l’on doit réussir à la force de ses bras, en y jouant tout de son existence. Ce n’est
pas parce que l’on est appelé que cet appel devrait envahir tout l’espace, qu’il
exigerait tant et tant que l’on serait obnubilé par le sens du devoir et que l’on
devrait devenir un immense « MOI » zélé à l’extrême… au contraire, grâce à ce
flot puissant qui porte l’appelé, on réalise que la mission est en chemin de
toute façon, de manière irrémédiable, et que quoi qu’il arrive, le monde va
vers sa réconciliation ultime en Christ.
On réalise que face à l’asservissement des puissances du mal, face aux astres ou
aux horoscopes, face aux dictateurs de ce monde, face à tous les déterminismes,
8
l’initiative de Dieu ouvre la voie aux nouveaux commencements, et que de
commencement en commencement, du neuf est toujours en train d’arriver.
Du coup, au lieu qu’il y ait un imposant appelé qui occuperait tout l’espace… ou
alors un minuscule appelé qui n’oserait pas répondre car il se sent indigne, il y a
un appelé confiant dans cet immense flot qui le porte… et ça change tout dans la
manière de vivre l’appel. Cela inverse complètement la perspective.
Et c’est peut-être cette compréhension qui, justement, va permettre de répondre
« oui », un vrai « oui ». Savoir que le projet divin est en marche, savoir que le
sauvetage de l’humanité est de toute façon en marche ; savoir que j’y ai ma place
par l’appel reçu, mais que ma place n’est pas de tout faire à la place de Dieu,
savoir que ma place est d’écouter ce flot puissant et de l’accompagner, de le
mettre en œuvre concrètement, comme le maillon d’une grande chaîne. Tout petit
maillon, et pourtant, maillon indispensable pour que la chaîne du sauvetage de
l’humanité ne soit pas interrompue.
Alors oui, nous sommes mis à nu par l’appel. Et c’est justement parce que nous
sommes nus que nous pouvons « saisir l’armure de Dieu, avec, à la taille, la
vérité pour ceinturon, la justice pour cuirasse, et comme chaussures aux pieds,
l’élan pour annoncer l’évangile de la paix. » comme il est écrit dans la lettre aux
Ephésiens. « Et surtout, poursuit l’auteur, prenez le bouclier de la foi pour
éteindre tous les projectiles enflammés du Malin, puis recevez enfin le casque du
salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu ». Amen.
Musique
Ct 45-12, st 1 et 3 Comme un fleuve immense
R E S T E R DEBOUT
Confession de foi
Nous croyons en Dieu.
Par sa volonté souveraine, il soutient le monde,
Et le conduit à son accomplissement.
Contre tout défaitisme et toute fatalité,
Contre les aveuglements du progrès,
Il nous offre une alliance vivante, parce que fidèle.
Nous croyons qu’il n’y a pas d’autre fondement à poser que celui déjà posé : Jésus le Christ.
Il nous dit : « Va ! » et donne à notre vie une sûre direction.
Il nous dit : « Demeure ! » et nous apprenons à nous enraciner en lui.
Nous croyons en l’Esprit qui nous aide à surmonter les crises, à refonder notre vie en Dieu.
Il comble les manques de notre prière,
Il nous ouvre au véritable amour.
Nous croyons que l’Eglise vit d’une réforme permanente
9
Et qu’ainsi seulement elle peut rester fidèle à l’Evangile qui la fonde. Amen.
spontané
Offrande
Nous avons tout reçu de la grâce de Dieu. Exprimons notre reconnaissance en
partageant concrètement nos biens comme un signe de l’offrande de nos vies.
Prière après l’offrande : Merci Seigneur pour tous ces dons en argent, en temps,
en talents. Donne à ton Eglise d’en user au mieux pour l’hospitalité et le bien de
tous. Amen.
Annonces
Parrainage de Jean-Freddy (par les Sitterlé) / flyer w-end théologiques Pomeyrol
/ chauffage installé / portail fragile
Prière d’intercession (Michèle)
Envoi
Servez ! Servez non comme désirant plaire aux hommes, mais comme des
serviteurs du Christ qui s’empressent d’accomplir la volonté de l’Eternel. Servez
de bon gré, comme si vous serviez le Seigneur lui-même.
Bénédiction
Que le Seigneur vous arme de puissance par son Esprit, pour que se fortifie en
vous l’homme intérieur.
Que le Seigneur fasse habiter le Christ en vos cœurs par la foi !
Qu’il vous enracine et vous fonde dans l’amour du Christ qui dépasse toute
connaissance, afin que vous soyez comblés de toute la plénitude de Dieu. Amen.
Ct 47-04 Confie à Dieu ta route, st 4

Contact