Culte à Sète le 7 juillet 2024

Culte à Sète le 7 juillet 2024
musique
Accueil et Annonce de la grâce
L’Eternel, lui qui t’a créé et formé, te dit ceci : « N’aie pas peur, je t’ai libéré.
Je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi ».
N’aie pas peur, je te donne ma paix. N’aie pas peur, ma présence aimante
t’accompagne tous les jours de ta vie. N’aie pas peur ! Vis de cette présence
aimante et partage cette paix.
Oui, frères et sœurs, ici et maintenant, le Seigneur nous accueille comme il l’a
fait hier et le fera encore demain. En ce dimanche 7 juillet, soyez donc toutes et
tous les bienvenus dans ce lieu. Que la foi, l’espérance et l’amour trouvent leur
chemin dans nos vies et dans notre assemblée. Amen.
Spontané
Prière de louange (avec le psaume 139)
SEIGNEUR, tu regardes jusqu’au fond de mon cœur et tu me connais.
Tu sais quand je m’assois et quand je me lève ; longtemps à l’avance, tu sais ce
que je pense. Tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu connais toutes
mes actions. Je n’ai pas encore ouvert la bouche, tu sais déjà tout ce que je vais
dire !
Tu es derrière moi, tu es aussi devant moi, tu poses ta main sur moi. Tu me
connais parfaitement.
Pour moi, c’est trop beau, cela dépasse tout ce que je peux comprendre.
Où aller loin de toi ? Où fuir loin de ton regard ? Si je monte au ciel, tu es là, si
je me couche au milieu des morts, te voici. Si je m’envole sur les ailes du matin
pour aller au-delà des mers, même là, tu me conduis par la main et tu me tiens
solidement.
Je peux dire : « Je veux me cacher complètement dans l’obscurité. Que le jour
devienne nuit autour de moi ! » Mais pour toi, même l’obscurité est lumière,
et la nuit est claire comme le jour.Ce que tu fais est magnifique, je le reconnais.
Amen.
2
Ct 42-05, st 2, 3, 5 (marquer la pause)
Prière de repentance (Maria ?)
Notre Dieu, qu’il est rude, parfois, le chemin de notre vie ! Tellement que nous
en venons à désespérer : des autres, de nous-mêmes ou de toi…
Il arrive souvent, si souvent, que la violence vienne brouiller nos relations. Et la
désillusion nous enferme.
« Ô Dieu, regarde au fond de mon cœur et connais-moi.
Examine mes pensées et vois mes soucis.
Regarde si je suis sur un chemin dangereux, et conduis-moi sur ton chemin, ce
chemin qui est sûr pour toujours ». Amen.
Spontané
Annonce du pardon
Frères et sœurs, en Jésus-Christ, le monde est libéré du péché : rien ne peut nous
séparer de l’amour de Dieu. Il nous donne de croire qu’en toute impasse s’offre
un passage.
Jésus de Nazareth se fait lui-même chemin pour toi, pour moi, pour nous ; il
ouvre en nos cœurs des chemins de vie, de confiance et d’espérance.
Relevés par le pardon, nous chantons
spontané
Prière d’illumination
Eternel notre Dieu, nous allons ouvrir la Bible. Accorde-nous ton Esprit maternel
et créateur.
Que ces mots anciens te révèlent aujourd’hui, à nous qui désirons vivre en
disciples de Jésus le Christ, notre frère. Que ta parole s’élance, nous rassemble, et
nous transforme. Parle ta Parole. Amen.
Nous lisons dans la 1ère lettre de Paul aux Corinthiens, le chapitre
13 (Véronique ?) :
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Supposons que je parle les langues des êtres humains et même celles des anges :
si je n’ai pas d’amour, je ne suis rien de plus qu’un métal qui résonne ou qu’une
cymbale bruyante.
Je pourrais transmettre des messages reçus de la part de Dieu, posséder toute la
connaissance et comprendre tous les mystères, je pourrais avoir la foi capable de
déplacer des montagnes, si je n’ai pas d’amour, je ne suis rien !
Je pourrais distribuer tous mes biens aux affamés et même livrer mon corps aux
flammes, si je n’ai pas d’amour, cela ne me sert à rien !
L’amour est patient et bon, il n’est pas envieux, ne se vante pas et n’est pas
prétentieux ; l’amour ne fait rien de honteux, n’est pas égoïste, ne s’irrite pas et
n’éprouve pas de rancune ; l’amour ne se réjouit pas du mal, il se réjouit de la
vérité.
En toute circonstance il fait face, il garde la foi, il espère, il persévère.
L’amour est éternel !
Maintenant, ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance et l’amour ; mais la
plus grande des trois est l’amour.
Nous lisons dans l’évangile selon Marc, au chapitre 14, les versets 3 à
9 (Daniel) :
Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux ; pendant qu’il était à
table, une femme entra avec un flacon d’albâtre plein d’un parfum très cher, fait
de nard pur. Elle brisa le flacon et versa le parfum sur la tête de Jésus.
Certains de ceux qui étaient là s’indignaient : « À quoi bon avoir gaspillé ce
parfum ? On aurait pu le vendre plus de 300 pièces d’argent et les donner aux
pauvres ! » Ils critiquaient sévèrement cette femme.
Mais Jésus dit : « Laissez-la tranquille. Pourquoi la tourmenter ? Ce qu’elle a
accompli pour moi est vraiment beau. Car vous aurez toujours des pauvres avec
vous, et toutes les fois que vous le voudrez, vous pourrez leur faire du bien ; mais
moi, vous ne m’aurez pas toujours. Elle a fait ce qu’elle a pu : elle a parfumé mon
corps d’avance afin de le préparer pour le tombeau.
Je vous le déclare, c’est la vérité : partout où la bonne nouvelle sera annoncée,
dans le monde entier, on racontera, en souvenir d’elle, ce que cette femme a fait.»
Ct 22-03 Aux lois de Dieu prêtons l’oreille, st 1 et 2
Prédication
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Au vu de l’actualité politique de notre pays, il me semble que ce dimanche
d’aujourd’hui est un bon jour pour raconter, en mémoire de la femme au parfum,
ce qu’elle a fait.
Ecoutant les émissions relatives aux élections législatives dans notre pays,
écoutant les réponses des françaises et des français interrogés, ainsi que les uns et
les autres autour de moi, il me semble urgent de revenir à l’enseignement de la
Bible et son rejet de l’idolâtrie. Rassurez-vous, je n’ai pas du tout l’intention de
parler politique aujourd’hui, de tenter d’influencer votre vote, surtout qu’à Sète,
les dés sont jetés, mais à la lecture de ce que j’entends ici ou là, je voudrais
aujourd’hui parler théologie.
D’une part, dans ce que j’entends, je perçois une recherche, une quête même, de
la part des citoyens ; cette quête, on pourrait la formuler de deux façons :
1- Qui viendra nous sauver ?
C’est donc d’une quête mystique qu’il s’agit, puisqu’une quête de salut, de
protection, de bonheur, de plénitude, même si le vocabulaire utilisé n’est pas
celui-là, le sens est bien celui-ci. Une quête mystique donc, mais mal orientée,
ratant la cible ; vous vous souvenez, « rater la cible », c’est ce que signifie pécher
en hébreu : se tromper de cible pour trouver ce que l’on cherche ; ce n’est pas le
fait de chercher qui est problématique, mais le fait de se tromper d’orientation. Et
malheureusement, nos contemporains, et bien souvent nous-mêmes, nous
attendons que ce salut, ce sauvetage, nous soit apporté par des êtres humains –
quels qu’ils soient, quel que soit leur parti.
2- Lequel d’entre eux (ces politiques) sera le plus efficace ? Lequel sera le
plus efficace pour lutter contre tout ce qui nous fait peur, contre tout ce que
nous percevons comme une menace ?
En effet, la peur est bien présente. Un peu comme au temps du covid : il y avait
d’un côté ceux qui avaient peur du virus, de l’autre côté ceux qui avaient peur du
vaccin. Et les deux camps s’affrontaient violemment. Or cette peur était la même,
peur du virus ou peur du vaccin, c’était bien la peur de la mort.
Aujourd’hui aussi, violence et affrontement, parce que peur. Cela peut être la
peur de l’étranger, ou alors la peur du changement, ou alors peur du changement
climatique, ou la peur de la misère, ou alors la peur du chaos, ou alors la peur de
la dictature, etc, etc… d’où cette question : Lequel d’entre eux sera le plus
efficace face à tout ce qui nous fait peur ?
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Derrière cette question, on se trompe encore de cible, car on recherche le salut, la
paix profonde, l’équilibre, la plénitude, dans une réalisation de mains d’homme,
une œuvre humaine : l’efficacité. L’efficacité comme œuvre de salut.
Le problème n’est pas la recherche d’efficacité en soi ; c’est le fait de la mettre
au premier plan, de la faire passer avant le vivant ; de faire passer la recherche
d’efficacité avant la vie relationnelle, de la faire passer avant le respect du vivant.
Ou plutôt, le problème, ce n’est même pas de la faire passer avant, c’est quand la
recherche d’efficacité devient la seule cible, le seul but. Il n’y a plus que cela qui
compte. Car alors, quels que soient les camps politiques, on risque d’assassiner le
vivant sous toutes ses formes. C’est la fin du respect de la Vie, avec un grand
« V ».
Tout cela, mes amis, c’est exactement ce que la Bible appelle idolâtrie. Vous
savez, l’adoration des statues fabriquées de mains d’hommes… Il ne suffit pas
d’avoir retiré les statues de nos temples ; c’est de nos cœurs qu’il nous faut retirer
les idoles.
II-
A la faveur des différents discours et thèmes récurrents ces mois-ci, je me suis
souvenu avoir eu l’occasion de visiter la maison d’Izieu, dans le département de
l’Ain, il y a deux ans. Il s’agit d’une maison qui accueillait des enfants juifs
pendant la seconde guerre mondiale, jusqu’à ce que Klaus Barbie ordonne une
rafle des 44 enfants et 7 éducateurs présents ce jour-là. En avril 1944, les 44
enfants de cette maison et leurs 7 éducateurs ont été internés à la prison de
Montluc, à Lyon, puis envoyés au camp français de Drancy.
Drancy, camp français, c’était la dernière étape avant la déportation vers les
centres de mise à mort, principalement Auschwitz.
La maison d’Izieu est aujourd’hui un lieu de mémoire et elle a été complétée par
un musée.
Au cours de ma visite dans ce musée, j’ai écouté un témoignage (c’est un
témoignage écrit qui a été enregistré en audio), celui d’une jeune femme elle-
même internée au camp de Drancy et qui voyait arriver ces enfants, âgés de 15
mois à 13 ans. Elle était chargée avec d’autres de s’en occuper pour quelques
heures, quelques jours, puisque Drancy était un lieu de passage vers les camps de
la mort.
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La première chose qui apparaît dans son récit, c’est la puanteur, car quasiment
tous étaient atteints de dysenterie. Mille enfants souillés, et seulement quelques
douches disponibles et seulement deux serviettes de toilette. Elles se sont lancées
quand même, ces femmes, et ont douchés les enfants. Une serviette de toilette
pour ceux dont les peaux étaient couvertes d’abcès et autres purulences, une autre
serviette pour les autres.
Une autre femme, elle, essayait de laver leurs guenilles dans un filet d’eau. Et
une heure après avoir été lavés et changés, ils étaient à nouveau souillés, et tout
était à recommencer.
Une autre femme, elle, berçait une toute petite fille, qui se mettait à hurler dès
qu’elle essayait de la déposer sur sa paillasse. Et celle qui témoigne raconte qu’à
un moment, voyant tout cela, elle se demande à quoi cela peut bien servir de les
laver alors qu’une heure après ils seront à nouveau souillés. En effet, à quoi cela
pouvait-il leur être utile, à eux qui, très peu de temps après, allaient être envoyés
dans les camps d’extermination ? A quoi cela pouvait-il bien servir de prendre
cette petite sur ses genoux, puisque quelques jours après elle allait être broyée ?
pause
Comment ne pas entendre alors le récit de la femme au parfum dans l’évangile de
Marc ? Ce parfum tellement précieux, tellement coûteux… dans un vase
hermétique qui le tient enfermé… en un instant, briser le vase pour que la
merveilleuse odeur de l’amour se répande. Recouvrir la puanteur et l’horreur par
le parfum si précieux de l’amour inutile, de la beauté du geste qui ne sert à rien.
pause
Imaginez un instant si les adultes qui étaient là, à l’arrivée des enfants au camp
de Drancy, s’étaient dit : cela ne sert à rien, c’est totalement inutile alors on ne va
pas les laver, on ne va pas les toucher, on ne va pas les embrasser, de toute façon,
ils sont condamnés, on ne peut rien pour eux, restons entre nous dans notre
indifférence ou dans notre sidération. Imaginez ça un instant. Voyez : d’un côté,
la possibilité de la compassion en action, le geste qui ne sert à rien, pour rien ; ou
de l’autre, le choix de l’indifférence au prétexte que c’est inutile, au prétexte que
l’on est impuissant.
III-
Alors utile, inutile… le théologien qu’était Jacques Ellul, a élaboré une
intéressante analyse critique de la technique, qui remonte aux années 70. Ce ne
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sont pas « les techniques » qu’il critique, ces outils que l’humain a toujours
confectionnés pour se protéger du milieu naturel et pour améliorer sa qualité de
vie ; ce qu’il critique, c’est la technique, qu’il définit ainsi : la technique est « la
préoccupation de l’immense majorité des hommes (et des femmes) de notre
temps de rechercher en toutes choses la méthode absolument la plus
efficace ».
Donc la technique, c’est avant tout une mentalité, un état d’esprit, qui aboutit à
faire de l’efficacité un absolu, une valeur essentielle, la valeur essentiel. Frédéric
Rognon, autre théologie, écrit que « L’efficacité est « devenue une divinité
jalouse, et la mentalité technicienne qui s’impose dans la société technicienne est
un monothéisme de l’efficacité ». En effet, cette mentalité est devenue
carrément un « milieu », c’est devenu le nouveau milieu de l’être humain, dans
lequel il baigne. Jusqu’alors, l’humain vivait dans un milieu naturel avec des
techniques ; aujourd’hui, l’homme vit dans un milieu technicien, depuis la
naissance jusqu’à la mort. Nous pouvons prendre l’exemple d’un poisson qui vit
dans son bocal. Il ne voit pas l’eau dans laquelle il baigne. De la même manière,
nous ne nous rendons pas compte de l’eau, du milieu, dans lequel nous baignons.
Du coup, cette logique d’adoration de l’efficacité pénètre toutes les sphères de la
vie : le travail, les loisirs, la procréation, le langage, la création artistique, la vie
politique, et même… la vie spirituelle et l’Eglise.
La vie politique, je vous l’ai dit : Lequel d’entre eux sera le plus efficace ?
Embués, embrumés, nous ne sommes plus capables de voir autre chose que des
mirages… Ici ou là, chacun nous promet la lune… et nous voulons tellement y
croire ! Nous voulons tellement y croire plutôt que de mettre notre confiance,
notre foi dans la Parole de Dieu, plutôt que de nous fier dans les paroles du Christ
qui seules peuvent nous guider sur le chemin du Vivant !
L’amour, cela ne sert à rien. L’amour, du point de vue du monde, cela n’a aucune
utilité, aucune efficacité, aucune productivité.
Et c’est justement à cela que nous sommes appelés et rien qu’à cela :
« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute
ta force, et de toute ta pensée; et ton prochain comme toi-même »
Hors de tous nos schémas d’efficacité, tout simplement, cette capacité à offrir
une présence, un geste, sans se poser la moindre question quant au résultat.
Pas seulement un geste, mais aussi une présence. Pas seulement du faire, mais de
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l’être ; faire pour l’autre et être avec l’autre. Faire pour l’autre, et respecter
l’autre : tous les autres quels qu’ils soient : quelle que soit leur étiquette ; les
respecter car les sachants aimés du Père, même si eux ne le savent pas ; les
respecter car sachant que Jésus le Christ a donné sa vie aussi pour chacun d’eux,
chacune d’elles, même s’ils ne le savent pas.
En conclusion, il me semble bon d’entendre aujourd’hui un petit bout de la prière
de François d’Assise et de le faire nôtre :
Seigneur, fais que là où il y a la haine, je mette l’amour.
Oui, Seigneur, quels que soient les camps politiques, les idéologies, les peurs et
les dénis, quelles que soient nos manières de croire que tel ou tel nous sauvera,
que tel ou tel nous perdra, quelle que soit la direction donnée à nos bulletins de
vote ou à nos absences de vote, et quelles qu’en soient les conséquences, fais que
là où il y a la haine, je mette l’amour. Non pas la gentille affectivité des naïfs ;
mais l’amour-agapè, cette capacité à se savoir Un malgré et avec nos différences,
voire malgré et avec nos oppositions.
Oui Seigneur, fais que nous ne nous laissions pas prendre au piège de la division
entre les uns et les autres. Fais que dans toutes les situations auxquelles nous
assistons et où nous voyons la haine, nous mettions
l’amour. Pour que le Malin, le Diviseur, ne puisse se réjouir des fractures qui
tentent de laminer notre société et de nous briser nous-mêmes. Pour que nous
gardions confiance et courage à l’écoute de l’apôtre Paul dans la lettre aux
Romains : « Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais soit vainqueur du mal par le
bien. » (Rm 12) Amen
Silence. Musique
Ct 31-20 Seigneur que tous s’unissent
Sainte Cène
Offrande (musique)
Nous avons tout reçu de la grâce de Dieu. Exprimons notre reconnaissance en
partageant concrètement nos biens comme un signe de l’offrande de nos vies.
Prière après l’offrande : Merci Seigneur pour tous ces dons en argent, en temps,
en talents. Donne à ton Eglise d’en user au mieux pour l’hospitalité et le bien de
tous. Amen.
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Annonces – une personne connaissant l’extraction du sel / AEFP /
Prière d’intercession (Michèle ?)
Envoi et bénédiction
Comme la pluie descend du ciel, arrose la terre et fait germer les plantes, la
parole de Dieu, déposée dans les cœurs, fait grandir la foi, l’espérance et l’amour.
Le Christ nous envoie.
Recevons la bénédiction de Dieu pour être une bénédiction les uns pour les
autres.
Que le Dieu de toute grâce nous bénisse, qu’il fasse pour nous rayonner son
visage, qu’il tourne son regard vers nous et nous accorde à sa paix. Amen.
spontané

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